dimanche

Cul des belles


L'excellent Olivier Boiscommun en pleine action sur le Quiquenbulles( cliché de Lucien Rollin). Son magnifique coup de patte et sa gentillesse furent toujours disponible jusqu'à plus d'heure, pour le plus grand plaisir des petites têtes blondes.
Daniel Fuschs, toujours impérial.
L'atelier de Miss P., aidée de ses efficaces bénèvoles, fut un succès avec 600 masques créés pour les enfants au cours du week-end. Ajoutés aux plus de 80 bambins accueillis sur les deux jours par la halte-garderie, aux 250 jeunes auditeurs du vendredi des contes du passionnant Michel Pomerantz, aux probables 500 spectateurs du Quiquenbulles, cette édition 2012 double pour le moins l'afflux habituel de l'espace-jeunesse.
Outre l'expérience annuelle de se replonger de façon décalée et goguenarde dans le petit univers de la BD aux codes, conversations et habitudes immuables, cette édition fut l'occasion de retrouver amis et connaissances, ( grand merci à Didier David de son attentiona et sa visite inopinée sur le Quiquenbulle ),mais aussi le plaisir de découvrir de nouvelles têtes, tel l'excellent Patrick Bobe, universitaire à Rennes I, d'une urbaine conversation. Un grand merci à Olivier, Michel, Pauline, Didier et tous les bénèvoles !

jeudi

Depuis que j'ai vu la Semaine de Suzette !


Pour les personnes intéressées par la revue La Semaine de Suzette, je cède à l'unité ou par lot des exemplaires de ce magazine. Je dispose d'un millier de numéros, courant de 1925 à 1959, soit l'équivalent de 20 ans de parution sur la période en question de 34 ans. Dans ces numéros de la semaine de Suzette, vous découvrirez le normand Lortac, l'excellent Alain d'Orange, Georges Pichard avant ses Paulette, Jean-Claude Forest avant Barbarella, Julio Ribera et tant d'autres, sans oublier la star de la revue, Bécassine, de Pinchon. 1 numéro de la Semaine de Suzette : 1,80 euros. 10 numéros de la Semaine de Suzette : 15 euros. 100 numéros de la Semaine de Suzette : 130 euros. N'hésitez pas à me contacter, car, comme le chante le kitchissime Dany Brillant, "Depuis que j'ai vu Suzette, Je perds la raison !".
La Semaine de Suzette est une revue enfantine pour filles, publiée de 1905 à 1960, célèbre pour avoir fait apparaître le personnage de Bécassine. Éditée par les éditions Gautier-Languereau, elle paraît sous la forme d'une revue hebdomadaire ( La Semaine de Suzette, dont le premier numéro sort le 2 février 1905 et le dernier (no 144) le 25 août 1960 ) et d'albums reliés de la revue, semestriels jusqu'en 1950, ensuite quadrimestriels, puis trimestriels. Des livres reprenant chacun une histoire complète ayant paru dans la revue sont publiés sous le titre Bibliothèque de Suzette de 1919 à 1958. La Semaine de Suzette est particulièrement célèbre pour ses illustrateurs dont René Follet, Maggie Salcedo ou Henri de Sta.(Soucre : wikipédia.)

samedi

Alain Thévenin et ses machines !


Alain Thevenin, collectionneur de machines à écrire, est recherché pour participer à un projet universitaire à Clermont-Ferrand : "Nous aurions tellement aimé le rencontrer pour partager les mêmes ambitions. Nous entamons la dernière année pour mettre en ligne diverses vidéos de machines sur http://www.europeana.eu/portal/" indique Sabine, ma correspondante. Le projet thinkMotion, bibliothèque numérique européenne de machines et mécanismes a une durée de 3 ans (juin 2010 - juin 2013). Ce projet européen a pour objectif de contribuer à créer la plus grande bibliothèque numérique libre au monde sur le thème des machines et mécanismes, dans le cadre de la bibliothèque numérique en ligne gratuite européenne Europeana, créée en novembre 2008. C'est un enjeu fort pour l’Europe en terme de rayonnement culturel et scientifique. Si Alain Thevenin a l'occasion de passer dans le Puy de Dôme pour l'exposition de ses machines, il serait le bienvenu dans cette école d'ingénieur. Institut Français de Mécanique Avancée Campus de Clermont-Ferrand / Les Cézeaux BP 265 63175 Aubière Cedex - France

Thierry Bruet expose à Luxembourg


Cet automne 2012, venez retrouver, voire découvrir, les oeuvres du peintre contemporain Thierry Bruet au Luxembourg. Fruit de trois décennies de travail, cette oeuvre magistrale, parfois décorative, parfois mondaine mais le plus souvent sarcastique, allie une mordante figuration du monde actuel à une couleur lumineuse, voire clinquante. Elle témoigne aussi d'une somptueuse maîtrise technique propre aux maîtres anciens ayant marqué l'histoire de la peinture à l'huile. Un plaisir des yeux et de l'esprit dans la grande tradition picturale européenne. Pratique : Culture Inside Gallery, 8, rue Notre-Dame, 2240 Luxembourg, LUXEMBOURG.

Cathy


IMEC

Présidé par l'ancien ministre de la culture de François Mitterrand, Jack Lang, l'Institut Mémoires de l'édition contemporaine (IMEC) est un organisme chargé de la conservation des manuscrits des écrivains du XXème siècle. Il est situé dans le Calvados, à Saint-Germain-La-Blanche-Herbe, dans l'ancienne abbaye d'Ardenne.
(Visuel Wikipédia) Contact : IMEC, Abbaye d'Ardenne, 14280 Saint-Germain-la-Blanche-Herbe. Standard : Tél. : 02 31 29 37 37
L'Abbaye d'Ardenne, le livre.

vendredi

Raymond Moritz


Peintre et illustrateur, notamment de romans feuilletons, Raymond Moritz (1891-1950) est né à Paris le 8 juillet 1891. Il a peint une allégorie de la vie pour les décors de la salle des mariages de l'hôtel de ville d'Albert (Somme), un édifice art déco et inspiré du style flamand, conçu par Miniac, architecte à Paris, et Benjamin Maneval, architecte à Amiens. Cet édifice de vastes dimensions domine la place Émile Leturcq. Son beffroi haut de 64 mètres possède un carillon "de Westminster" a été inauguré en 1932 par le président de la République, Albert Lebrun, sous le mandat de Sainte-Marie Verrier. Vendémiaire Pavot, sculpteur valenciennois, est l' auteur de la frise de la façade qui évoque les travaux des champs et les activités industrielles, le départ d'un jeune père à la guerre et son retour dans sa famille. Georges Tembouret, maître-verrier amiénois, réalisa le vitrail du grand escalier représentant l'industrie aéronautique.
Moritz, in Le Pèlerin. Raymond Moritz a combattu durant la guerre de 14/18, comme en témoigne un petit dessin fait sur la cote 304. Illustrateur, Raymond Moritz est présent dans Le pèlerin des années 20 aux années 30 et l'Illustration. Édition (illustration) : * Georges Fronval, Le Mystère du Val d'enfer. * Francis de Croisset (Pseudonyme de Franz WIENER), LA FEERIE CINGHALAISE, Collection Poivre et Sel, 1929. * Guy Chastel, Bayard, Paris, Maurice d'Hartoy, 1935, * Christiane de La Hamonnaye, Neige sur la flamme, 1938. * Roger Régis, La resistance par 1' humour, Paris, Les Editions de Paris, 1945. * Pierre L'ermite, La jeune fille en bleur, roman, 1947. * Jean Renald, Sans peur et sans reproche Leclerc, Paris, Bonne Presse, 1948. * COLLECTION DE LA MAIN BLANCHE, 19 fascicules, éditions S.P.E., couvertures de Raymond Moritz, 1942 , la collection : les auteurs sont connus des amateurs de petits formats : Jean des Marchenelles, Line Deberre, Marc Minerath... Michel Ciry est aussi illustrateur de cete collection.
En 1935, Moritz a exposition personnelle à la Galerie Jean Charpentier, à Paris, au 76, rue du Faubourg-Saint-Honoré, à l'angle de la rue Duras. Un catalogue d'exposition est édité à cette occasion, orné d'illustrations en hors-texte. Moritz, illustrateur de Simenon : P *Publication de la nouvelle L'auberge aux noyés d'une préoriginale dans l'hebdomadaire « Police-Film/Police-Roman », n° 29 du 11 novembre 1938, Paris, Société parisienne d'édition ; 26,5 x 17,5 cm, 16 pages ; illustrations de Raymond Moritz, couverture illustrée (R. Moritz). Série « Les nouvelles enquêtes du commissaire Maigret ». * Mademoiselle Berthe et son amant, nouvelle publiée dans l'hebdomadaire « Police-Film », [première série] n° 1 du [29 avril] 1938. Paris, Société parisienne d'édition ; 26,5 x 17,5 cm, 15 pages ; Série « Les nouvelles enquêtes du commissaire Maigret ». *Il illustre encore Georges Simenon pour La vieille dame de Bayeux, dans la Série « Les nouvelles enquêtes du commissaire Maigret » de l'hebdomadaire « Police-Roman », n° 41 du 3 février 1939, Paris, Société parisienne d'édition. * L'enquête de Mlle Doche, nouvelle, mars 1939. * Georges SIMENON. Le Policier d'Istambul dans « Police-Roman ». N°38. Paris, s.n., (Société Parisienne d'édition), 1939. ÉDITION ORIGINALE illustrée par Raymond Moritz.

Deyrolle


Élève aux Beaux-Arts de deux peintres académiques et prix de Rome, Alexandre Cabanel et l'ingresque William Bouguereau, le peintre Théophile Deyrolle, bien que né à Paris le 16 décembre 1844, a adopté la Bretagne et plus particulièrement Concarneau, ville où il a fondé l'école de peinture éponyme avec beau-frère Alfred Guillou (1844-1926). Marié à Suzanne Guillou, Théophile est mareyeur le matin dans les huitrières de l'arrière-port de Concarneau et peintre l'après-midi. C'est dans sa cité d'adoption, qu'il disparait le 14 décembre 1923.
On lui doit de magnifiques portraits de bretonne, des scènes de genre, des paysages :" Joueurs de boules " en 1887, " Noce bretonne " en 1892, " Retour de la foire de Trégunc " en 1893, " Gavotte bretonne " en 1896, " L'aumône en Bretagne " en 1902, " Naufrage à l'entrée de Concarneau " en 1906. Au salon de 1882, Théophile reçoit une mention honorable pour ses " Retour de foire, chemin de Saint-Jean à Concarneau " et " Pêche aux maquereaux au lever du soleil ". Dès 1909, Deyrolle développe une série autour du monde des bergers. Portrait de jeune bergère, collection Miniac. A la mort de son père, son petit-fils, Jean Deyrolle (1911-1967) s'initie à la peinture à Concarneau, en compagnie de sa cousine, Jeanine Guillou (1909-1946), laquelle devient la compagne de l'immense Nicolas de Staêl en 1937 et donne naissance à Anne de Staël. Jean renouvelle l’art abstrait français à partir de 1946, avec cette oeuvre magnifique, marquée par une abstraction géométrique qui lui vaut le prix Kandinsky en 1946 et sa participation aux principales manifestations collectives d’art abstrait. Découvrant la céleste Gordes en 1947, il entraîne ses amis peintres, notamment Schneider, Serge Poliakoff et Vasarely.

Michel de Decker


Un ouvrage signé MDD, dans l'esprit élégiaque qu'on lui connait, à savourer prochainement :

Arcabas le magicien


Magicien de la couleur...
...pour une peinture spirituelle...
...plastique...
...et décorative.

Philippe Besnard


Le statuaire Philippe Besnard dans son atelier. Philippe Besnard est un artiste statuaire et sculpteur français né à Paris le 18 novembre 1885, dans l'hôtel particulier de son père, le peintre et académicien français Albert Besnard(1869-1934). Il est décédé le 2 novembre 1971 à l'hôpital Pasteur de Paris. Le jeune Philippe commença à recevoir ses premières leçons de sculpture de sa mère Charlotte Dubray. Puis à Rome, il prit des cours avec le sculpteur Henri Bouchard. Puis, comme sa mère, il reçut des conseils d'Auguste Rodin.
Félix Desgranges, de dos à droite, en famille, par Prinet. Il épousa en 1921 la sculptrice Germaine Desgranges (1892-1964), fille du peintre franc-comtois Félix Desgranges (1860-1942) et élève d'Antoine Bourdelle.
Platre de Philippe Besnard représentant Germaine Desgranges.
Statue de Philippe Besnard. On doit à ce Chevalier de la Légion d'honneur une oeuvre monumentale, parmi laquelle nombre de monuments aux morts de la Grande Guerre, à Annecy, avenue du Pâquier, à Fresnes-en-Woëvre et à Moûtiers-Salins, un monument aux morts de la Légion étrangère tombés pendant la Guerre du Rif à Meknès et un monument aux Résistants d'Albertville et Beaufort, à Albertville.
Pierre Loti, buste de Philippe Besnard, à Papeete, France. On lui doit aussi un nombre importants de bustes, dont : Buste du sculpteur Antoine Coysevox à Lyon, Buste de René-Jean, Buste de l'écrivain Pierre Loti à Papeete, Buste du peintre Aman-Jean, Deux bustes d'Albert Besnard, dont l'un est conservé au Musée d'Orsay, à Paris. Buste de Jacques Copeau, à la Comédie-Française, Buste du poète Auguste Dorchain, Buste de monseigneur Ghika, Buste de Guillaume Lerolle, fils d'Henri Lerolle Buste de Louis Duchesne (1843-1922) de l'Académie Française, place Monseigneur Duchesne, quartier de Saint-Servan à Saint-Malo. Buste de Maxime Weygand, à l'Académie française, Buste d'Henri d'Orléans, comte de Paris, Statue du maréchal Joseph Poniatowski (rue de Rivoli sur la façade du Louvre)
Louis Duchesne, buste de Philippe Besnard, pace Monseigneur Duchesne à Saint-Servan, en Bretagne. Diverses expositions émaillent son parcours : 1928, Galerie Ecalle 1928, Bruxelles 1938, Petit-Palais, avec Bessie Davidson, Mela Muter, Van Dongen 1942, Foyer des Artistes, Lyon Enfin, Philippe Besnard a écrit plusieurs ouvrages, dont La Politique et les Arts en 1935, (prix Broquette-Gonin attribué par l'Académie française)

jeudi

La Ferté-Macé fait la Saint-Cochon !



Dans le cadre de "Pierres en Lumière" qui devrait avoir lieu le 18 mai 2013 à La Ferté Macé, dans l'Orne, l'histoire de "la Truie de Falaise" sera reconstituée sous la forme d'une parodie. Dans le contexte d'un marché médiéval établi dans les rues, des comédiens joueront à travers la cité les scènes principales de l'histoire de ce crime porcin ornais évoqué en 2008 dans un volume signé Jean-François Miniac : Les Grandes Affaires Criminelles de l'Orne(De Borée) et découvert par un responsable culturel local à cette occasion. Pour l'occasion, la population s'habillera à la mode de l'époque. Bref, un grand moment en prévision dans les rues de la cité ornaise. Naturellement, la manifestation s'achèvera par un grand festin où chacun pourra déguster...du cochon ! Une façon comme une autre de le mettre à l'honneur, après l'évocation théatrale du fameux crime médiéval ! Groiiink !