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Les Grandes Affaires de l'Histoire n° 12 (mars-avril 2015)


Dans le numéro 12 du bimestriel Les Grandes Affaires de l'Histoire, focalisé sur Napoléon en 1815, retrouvez Jean-François Miniac pour un entretien avec un grand médiéviste, le spirituel universitaire Roger Jouet, et sa rubrique judiciaire "Histoire en procès" consacrée à l'affaire Pierre Bougrat. Au sommaire de ce numéro : seize articles sur les Cent-Jours et l'histoire de la chute de Napoléon, à l'occasion du bicentenaire ( articles de Michel Benoit sur Saint-Hélène, les Cent-jours, Fouché, les girouettes de l'histoire) ; un portfolio sur la Prohibition ; douze pages consacrées au Louvre. Un soin tout particulier est porté sur l'iconographie. Parmi les auteurs, deux nouveaux : Jean-Pierre Fontaine et Alain Balsan. * Les Grandes Affaires de l'Histoire, numéro 12, mars-avril 2015. Dans tous les bons kiosques de France et de Navarre. "Le 18 ­juin­1815 sonna le glas des ambitions politiques de l’empereur Napoléon Ier. La bataille de Waterloo, que nous faisons revivre dans ces pages, constitua l’épilogue tragique de l’épopée napoléonienne. À l’heure du bicentenaire de ces événements, il nous a semblé important de consacrer un numéro des Grandes A­ffaires de l’Histoire à l’année­ 1815. Vous découvrirez ainsi, cher lecteur, “L'ultime équipée du maréchal Murat”, “Sainte-Hélène, l’ultime prison” ou encore ce qu’on a appelé “Les girouettes des Cent-Jours”. Nous évoquerons aussi le congrès de Vienne, qui ­a­ redessiné pour de longues années la carte de l’Europe. Votre magazine débute par un portfolio narrant l’histoire de la Prohibition aux États-Unis. Ou ­quand les gangsters comme Al Capone ou Lucky Luciano faisaient la loi... Nous avons également souhaité parler d’une “Histoire dans le siècle”, celle de la République démocratique allemande. De 1949 à­ 1990, date de la réunification, l’Allemagne de l’Est fut sous domination idéologique soviétique­: les images “décryptées” le rappellent… Partons maintenant au cœur du Grand Siècle avec Alain Balsan­: on a du compositeur Lully, le ­Florentin dont Louis­ XIV s’était entiché, l’image d’un créateur aussi fécond que génial, symbole musical du faste de la cour de Versailles. Dut-il sa gloire à son seul talent ou bien fut-elle construite sur l’hypocrisie, l’intrigue et les machinations­? L’issue du procès qui l’opposa de 1675 à 1677 à­ Henri Guichard semble bien démontrer la noirceur du compositeur… Enfin, sous la plume de Jean-Michel Cosson, nous prendrons des chemins de traverse qui nous conduiront au Louvre. De Belphégor à La Joconde en passant par le contemporain Da Vinci Code, c’est tout “un Louvre d’histoires à feuilleter."