mardi

Fausse Route, Pierre Mérindol

Fausse Route, réédité à La Dilettante.

lundi

Peintures personnelles


Paysage normand, Montfort-sur-Risle, par Jean-François Miniac, 2005. Huile sur toile. OUEVRE LIBRE DE DROITS. Jean-François Miniac, autoportrait, 2001. Aquarelle. De même : OEUVRE LIBRE DE DROITS. Eglise normande, par Jean-François Miniac, 2003.
Jean-François Miniac par Antoine Moreau-Dusault dit Dusault, dessinateur au magazine Le Point. Jean-François et Christine, par Borja Pena, 2014. Aquarelle. Jean-François Miniac, par Jacques Terpant, 2013. Crayon. Deux peintures à l'huile représentant Jean-François Miniac, par son ami dessinateur espagnol Borja Pena.

Les Grandes Affaires Criminelles n° 2


Les Grandes Affaires Criminelles n° 2 Décembre 2014-Janvier et février 2015 Fort de l'intérêt porté au premier numéro par le lectorat, l'équipe rédactionnelle a été conviée à rédiger vingt nouveaux récits criminels pour ce second numéro. Parmi les contributeurs, vous y retrouverez les plumes des spécialistes Charles Bottarelli, Christophe Belser, Alain Dommanget, Thierry Desseux, Philippe Grandcoing et Jean-François Miniac ( pour six affaires : cinq françaises et une espagnole ). Porté par un magnifique maquette, ponctué de deux superbes portfolios, ce nouveau numéro sort en kiosque vers la mi-décembre 2014. Il est aujourd'hui épuisé. NOTE EDIORIALE : "Avec ce numéro 2 des Grandes Affaires Criminelles, vous découvrirez le récit de vingt histoires qui ont défrayé la chronique et passionné leurs contemporains. Chaque trimestre, nous aurons plaisir, cher lecteur, à vous donner rendez-vous dans les kiosques. Chaque trimestre, nous préparerons cette rencontre pour que vous éprouviez autant de plaisir de lecture que lors de notre première livraison. Retraçons aujourd’hui le déroulement d’histoires aussi terribles que “l’affaire Patrick Henry”, aussi longues que celle du “Gambrinus” à Nevers, aussi mythiques que celle de “la bande à Bonnot”. Les meilleurs auteurs, qu’ils soient policier à la retraite, historien, scénariste ou journaliste, vous font plonger dans l’irrationnel. Ils tentent d’expliquer, en reprenant le récit des événements criminels et des procès, les ressorts de ces histoires."