mardi

Charles Mestorino


C'est un plaisir d'évoquer l'affaire Charles Mestorino au pied levé dans le cadre d'un documentaire de 50 minutes consacré à cette affaire datant de 1928. L'enregistrement de ce court entretien a eu lieu le vendredi 5 juin 2020 avec le réalisateur, un vieux briscard du genre, Patrick Schmitt, et son assistant technicien de l'image.
Allégées, les 45 minutes d'interview enregistrées serviront à émailler le documentaire, tout comme l'entretien du réalisateur avec Matthieu Frachon, ancien rédacteur en chef du service étranger de France Soir et spécialiste du mythique 36 quai des Orfèvres. La diffusion de l'épisode de cette série télévisée dont c'est la neuvième saison est envisagée pour la fin 2020, au soir du 24 décembre à 21 h, sur la chaîne Planète + CI, la chaîne spécialisée sur l'univers pénal dont cette série télévisée est un des programmes majeurs.


Cet automne, le mercredi 4 novembre 2020, je suis interviewé durant deux heures dans le cadre d'un nouvel épisode consacré à une affaire de Rhône-Alpes, épisode sur Les Chauffeurs de la Drôme qui sera diffusé au soir du 31 décembre 2020 sur Planète + CI (21 h 56). Enregistré le même jour, l'historien Bernard Hautecloque, auteur d'un livre traitant du banditisme, intervient également dans ce même épisode.


En mai 2020, Jacques Pradel m'avait invité pour évoquer avec lui l'affaire du conseiller Prince un soir dans son émission L'Heure du Crime sur RTL, malheureusement des impératifs de livraison m'avaient empêché de trouver le temps de me replonger dans le dossier et de préparer une telle émission d'une heure en direct, invité la semaine précédente l'enregistrement. "Partie remise", m'étais-je dit puisque cela faisait trois fois que journaliste m'invitait ainsi. Plus récemment, il a malheureusement annoncé que son émission s'arrêtera fin juillet, après une décennie d'existence. Dommage ! Pour ma part, je garde un excellent souvenir de mes passages chez Jacques Pradel, sa grande mémoire, son sens du timing, sa chaleureuse mise en confiance et son professionnalisme restant vraiment louables.

lundi

Bretagne : jeu des 7 familles

Durant cette anxiogène période de pandémie au coronavirus, la légèreté doit être de mise. Quoi de plus chaleureux, que les jeux de société à pratiquer chez soi. En voici un qui parait en juin 2020 chez Christine Bonneton : un jeu des 7 familles consacré à la Bretagne. Un belle invitation à découvrir la région tout en jouant avec le cercle de ses proches, amis et famille.

Boujou de Normandie !

Cela faisait des mois que nous y travaillions d'arrache-main et nous sommes heureux de vous annoncer que, tout bientôt, notre petite héroïne Pomme va pointer à nouveau le bout de son museau, et la pointe de ses grandes couettes blondes, un peu partout en Normandie. Le mercredi 4 novembre 2020,  ce sera la sortie en librairie du second tome de "Boujou de Normandie", sortie attendue paraît il.   Nous espérons que ce petit nouveau saura séduire  celles et ceux qui apprécient bien notre premier Boujou depuis tant d'années. Si ce premier album était essentiellement consacré à la gastronomie normande, le nouveau se focalise sur l'histoire générale de notre région, dans le même esprit bonhomme et joyeux qui avait présidé à la réalisation du premier tome. A tantôt ! Et notamment pour quelques rares séances de signature !..
Du fait du second confinement décidé par le gouvernement, les librairies sont fermées jusqu'à nouvel ordre, notamment le jour prévu de la sortie de notre BOUJOU 2. Dès lors, dans l'attente de la réouverture des librairies françaises, il vous est toujours possible aux amateurs de la série de commander les BOUJOU 1 et 2 chez votre libraire habituel (Tel, mail ou application Bubble) puis de passer physiquement en librairie rechercher votre commande . Boujou à toutes et tous, et surtout prenez soin de vous.

DEDICACE du  12 décembre 2020 :





Je dédicacerai prochainement à Nonant si le dieu Pangolin le désire !  
Boujou la compagnie !


La Renaissance du Bessin du 11 décembre 2020 :

"Jean-François Miniac signe le second tome de la série « Boujou ». Dictionnaire humoureux, il raconte l’histoire générale de la Normandie. Les héroïnes, Pomme et sa vache facétieuse, vous conduisent avec malice et érudition des temps préhistoriques à nos jours. Le dessinateur/scénariste sera en dédicace aux Éditions Orep, près de Bayeux (Calvados) samedi 12 décembre.

Actu : Jean-François Miniac, vous avez sorti en octobre le tome 2 de Boujou de Normandie… Pouvez-vous nous parler ce livre illustré BD ?

Jean-François Miniac : Ce Boujou 2 fait suite au premier, paru en 2010. Autant le premier se focalise sur la gastronomie, autant ce nouvel album traite de l’histoire de la Normandie. Ceci dit, l’esprit est le même : allier la gaieté de l’humour au sérieux informatif. Comme un dictionnaire traditionnel, le lecteur peut y picorer les informations tout en s’amusant. Souvent, les gens offrent le Boujou aux leurs. En signature à Alençon, j’avais rencontré une dame qui en était à son neuvième album !

Vous êtes un humoureux de la Normandie, si je comprends bien ?

J-F. M : Humoureux, pour amour et humour. Amour : car, longtemps Caennais, mes souvenirs normands puisent dans le Bessin, notamment à Creully et Nonant. Humour : car, les Boujou sont animés par l’esprit normand, ponctués de citations d’auteurs et de dessins. Ceci dit, la plaisanterie n’y interdit pas le sérieux historique. Le médiéviste et universitaire Roger Jouet m’a fait savoir qu’il jugeait « très bon » ce Boujou 2, ce qui me ravit.

Quelle est la partie historique qui vous correspond le plus ?

J-F. M : Vaste question puisque ce Boujou 2 parcourt l’histoire générale de notre région, du néolithique à nos jours… Disons que j’ai un penchant pour les Second empire et Troisième république, lorsque mes ancêtres marins hantent Dieppe et Le Havre - un grand-père y embarque en 1852 pour l’or de Californie - ou que le verbe d’un grand-oncle rouennais combat les Chemises vertes de Dorgères.
En histoire, mon goût va aussi à la construction par des sources primaires. Outre un exceptionnel document sur l’implication de Foccart dans deux homicides de l’Occupation, j’ai découvert que la fameuse vente de la Tour Eiffel par Victor Lustig n’était qu’affabulation. Aucun des protagonistes supposés, évoqués ainsi par un épatant narrateur comme Bellemare, ne laisse la moindre trace dans la presse contemporaine ! Ceci dit, Lustig reste un escroc avéré, écroué à Paris pour un autre fait.

Écriture, dessin… que préférez-vous ?

J-F. M : Mon activité est centrée sur l’écriture, une quarantaine de livres et des articles par centaine, autour de laquelle le dessin reste une stimulante distraction. Graphisme ou écriture, j’apprécie surtout les collaborations fluides et serrées, ainsi avec l’excellent Andrea Rossetto sur notre BD Vikings, Rois des Mers ou avec l’ami Nan Aurousseau sur notre roman La Serpe rouge.

Avec Boujou, vous êtes dans la caricature, comment voyez-vous l’avenir du métier ?

J-F. M : Si les Boujou sont truffés de caricatures de figures normandes, ils participent peu de l’esprit de caricature tel que les essayistes du genre l’entendent, défini par l’insoumission aux pouvoirs, monarchique et catholique sous l’Ancien régime, capitaliste et étatique depuis. Concernant cet esprit, étendard de la liberté d’expression d’un usage parfois puéril, il seconde un genre moins spectaculaire mais bien davantage incisif : l’investigation.
À cet égard, les Pierre Péan et autres Benoît Collombat existeront toujours, trop rares et salutaires preuves de nos démocraties.

Vous serez en dédicace chez Orep samedi, on imagine que cet échange avec les lecteurs est bienvenu ?

J-F. M : Ce d’autant que j’ai un faible pour ces deux Boujou ! Les signatures sont souvent l’occasion de découvrir le ressenti des lecteurs : tel malade hospitalisé qui, ayant alors reçu un Boujou en cadeau, l’associe à son rétablissement (Attention, Boujou ne guérit pas les écrouelles !) ; telle quadragénaire qui me révèle que son père n’a lu qu’un livre dans sa vie, l’un des miens ; tel autre qui m’apprend avoir découvert l’existence d’un demi-frère par ma lecture.

Les deux confinements vous ont-ils inspiré ?

J-F. M : Un certain confinement restant intrinsèque au travail d’auteur, l’isolement une condition sine qua none, ils ont été créatifs à défaut d’être récréatifs. De fait, ces confinements forcés - mes cours de BD sont suspendus - ont été propices à l’achèvement de deux livres patrimoniaux, de deux scénarios et, réponse aux aléas éditoriaux, à la maturation d’un roman fantastique en solo que je compte désormais parachever simultanément avec un beau livre sur les inventions et une BD avec un témoin de l’Histoire.'
 
MEDIAS

Le Courrier Cauchois conseille l'album Boujou de Normandie dans un article du 15 décembre, puis quatre éditions de La Presse de la Manche dans un article du 19 décembre 2020.
 
Le 21 décembre 2020, l'album fait l'objet d'un jeu-concours organisé par quatre journaux normands : La Renaissance du Bessin, La Liberte Bonhomme, Les Nouvelles de Falaise, Le Pays d'Auge.

Par ailleurs, Radio Horizon, la première radio libre normande, fait un sujet sur Boujou le 23 décembre 2020.
Dans son n° 121 daté de janvier 2021, le trimestriel du Conseil Départemental de l'Orne, "L'Orne Magazine",  conseille également notre Boujou 2 dans la page librairie du cahier "Envies, l'Orne côté détente".
 
ARCHIVES ET BIBLIOTHEQUES
 
Depuis novembre 2020, ce deuxième album Boujou de Normandie  est présent dans les collections des Archives départementales du Calvados, à la suite du premier tome de Boujou acquis par les Archives en octobre.  
 
Depuis décembre 2020, le réseau des bibliothèques publiques Caen la Mer dispose également du tome 2 de Boujou de Normandie à son lectorat. Tout comme la médiathèque municipale de Torigny-les-Villes (50).
 
Espérons qu'il gagnera la Bibliothèque Municipale de Lyon, à l'instar du Boujou 1. 

MUSEES
Depuis décembre 2020, la boutique du Mémorial de Caen propose les deux Boujou à la vente.

LIBRAIRIES
Les deux Boujou sont proposés à la vente à la librairie Saint-Norbert de l'abbaye Saint-Martin-de-Mondaye à Juaye Mondaye (14). Aussi, la boutique du Mémorial de Caen présente ces Boujou depuis la mi-décembre 2020.

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