mercredi

Une visite publique



A la rentrée 2016, j'ai le plaisir d'intervenir quelques minutes dans un magazine quotidien de France 2, précisément dans un sujet relatif à un escroc faisant l'objet d'un chapitre de mon livre "Affaires d'Etat, Affaires Privées", paru l'an passé : Viktor Lustig. L'interview par le chroniqueur Baptiste Mathon a lieu le jeudi 8 septembre à Paris, dans les jardins du Trocadéro, face à la tour Eiffel, objet de la transaction supposée de Lustig. Ce court sujet d'ordre historique de 11 minutes intègre une émission enregistrée par un incontournable animateur du service public, Stéphane Bern, le 13 septembre. De fait, c'est l'occasion de tordre le cou à une légende du genre évoquée dans le volume, celle de Victor Lustig. Mon court entretien - une ou deux minutes - intervient en fin du sujet de la future émission "Gare aux faussaires". Il a fallu deux heures de tournage pour cet entretien, filmé sous divers angles, avec divers champs et diverses caméras dont une petite Osmo. Il a encore fallu négocier avec les aléas du moment, le soleil jouant alternativement avec les nuages et un ouvrier égosillant son marteau-piqueur contre un mur du musée de la Marine. Bref, un moment sympa où la prestation relève autant du jeu d'acteur que du narrateur de l'histoire. Le magazine est diffusé fin septembre.
Le journaliste Baptiste Mathon et le caméraman, dans les jardins du Trocadéro. En 2012, Baptiste Mathon était l'auteur d'un premier roman : Salutations non distinguées…, paru chez Mon Petit Editeur. Avant France 2, il a officié chez Canal et ITélé.
Le 30 septembre 2016 sur France 2, l'entretien conclue le reportage ''Victor Lustig, l'homme qui a vendu la tour Eiffel'' du magazine Visites privées de Stéphane Bern intitulé ''Gare aux faussaires''.

mardi

Les Grandes Affaires Criminelles n°11 (novembre-décembre 2016 et janvier 2017)


Retrouvez la plume de Jean-François Miniac pour trois des récits de ce onzième numéro du trimestriel Les Grandes affaires criminelles. Le présent numéro est centré autour des énigmes criminelles, des grands flics et grands juges de l'Histoire : Eliot Ness, Bertillon, l'affaire Boulin, l'affaire Saint-Aubin ou encore les brigades du Tigre. Je m'attache à la relation de trois affaires françaises du XXe siècle : un assassinat lors de l'Epuration impliquant un serviteur de l'Etat ; une affaire criminelle liée à un ministre centriste sous Pompidou ; une troisième, affaire d'Etat causant l'infortune d'un magistrat. Par ailleurs, une vingtaine de mes dessins au crayon illustre quatre des autres récits de ce numéro. Ce rare magazine consacré aux affaires criminelles historiques est concocté par un noyau de spécialistes du genre et d'historiens de formation universitaire.
Les Grandes Affaires Criminelles n°11 (novembre-décembre 2016 et janvier 2017), 150 pages, dans tous les bons kiosques de France et de Navarre.

lundi

Colloque Louis Duchesne


"Louis Duchesne, une mémoire de l'intime", est ma contribution au Colloque Louis Duchesne (1843-1922) du 17 octobre 2016. Une exposition consacrée à cet archéologue, historien et membre de l'Académie française se déroule aussi du 17 au 27 octobre 2016 à Saint-Malo et Saint-Servan-sur-Mer, organisée par la Société d'Histoire et d'Archéologie de l'Arrondissement de Saint-Malo présidée par Mme Annick Magon de Saint-Elier. Le colloque se déroule dans la salle du théâtre Chateaubriand (6, place Groult Saint-Georges, intra-muros), de 9 h 30 à 17 h 30.
Après une présentation de Mme Magon et de l'anthropologue Jean-Luc Blaise, cinq conférences ont lieu autour de la vie et de l'œuvre de l'illustre Malouin, suivies par un public nombreux et attentif, appuyées à la technique par le vice-amiral Alain Regard. Les voici, outre "Duchesne, une mémoire de l'intime" : "Duchesne l’archéologue, 1872-1894" par M. Christian Bouchet ; « Duchesne, directeur de l’EFR, 1895-1922 » par M. André Vauchez ; "Mgr Louis Duchesne, l'humour "sale gosse" d'un prélat iconoclaste" par M. Jean-Yves Ruaux ; l'historien de l'ancienne église par Mme Brigitte Waché.
LE TELEGRAMME DE BREST DU 14 OCTOBRE : "Lundi, la Société d'histoire et d'archéologie (SHAASM) consacre un colloque à Mgr Duchesne, fils de pêcheur servannais, prêtre, historien, directeur de l'École française de Rome, académicien et humoriste. Explications. Moins connu que Surcouf parce qu'il ne fut ni pirate, ni marchand d'esclaves, Mgr Duchesne (1843-1922) était, selon le pape Paul VI, « un être libre, et par conséquent plein de surprises et riche de révélations... un esprit pour le moins très indépendant dans la critique ». La SHAASM lui consacre un colloque 43 ans après le symposium organisé par le Vatican pour réhabiliter le grand historien de l'église dont certains ouvrages avaient autrefois été interdits comme... sulfureux ! Mais cet audacieux homme d'Église était un héritier de l'ironie de Voltaire dont il faisait profiter les salons et la presse parisienne. Célèbre, il apparaissait même dans des « pubs » de la Belle Époque. Un drôle de prêtre. Il nageait dans l'anse Saint-Père Jean-François Miniac, historien du crime, dressera le portrait de Duchesne. Gamin des grèves, professeur à Saint-Brieuc, puis Monsignore romain, revenant l'été, nager, écrire et lire dans l'anse Saint-Père, pour présider avec humour et solennité le 15 août, à Sainte-Croix.
L'humour ravageur est la signature de Duchesne, comme l'évoquera Jean-Yves Ruaux. Son humour n'épargne ni les cardinaux, ni Marie Curie ! Un rebelle servannais surdoué que rien ne destinait à devenir historien de l'église et seul ecclésiastique dont Jean Jaurès salua l'élection à l'Académie française (1910)... contre un cardinal dans l'Humanité ! Chasseur de papes
Mgr Duchesne est ordonné prêtre à Saint-Brieuc (1867). Il déteste les études religieuses et leur préfère l'archéologie qu'il pratique en Grèce à partir de 1874, comme le rappellera Christian Boucher.
Brigitte Waché, de l'université du Mans, lui a consacré ses recherches et parlera de l'historien de l'église ancienne ; d'autres diraient chasseurs de papes car il élimina de la liste historique ceux dont l'existence n'était pas vérifiée. Duchesne écrivait beaucoup, avec vivacité, mais cela ne l'empêcha pas de diriger pendant 27 ans les chercheurs à l'École française de Rome. Période que l'académicien André Vauchez, son successeur, retracera.
A l'issue des conférences et d'une table-ronde avec les conférenciers, une réception se tient vers 18 h autour d'un vin d’honneur, en présence notamment de Raymond Le Tertre, ancien présentateur du journal télévisé des années 70 et mémoire de la Région. Concoctée par M. Christian Boucher, concepteur de l'ensemble des manifestations, une vaste exposition (du 17 octobre au 27 octobre inclus) se tient au centre ville de Saint-Servan, dans la salle Bouvet, au premier étage du Théâtre sis 6, place Bouvet, devant l'ancienne mairie. Les objets et tableaux conservées par Marie-Anne Miniac y sont notamment présentés. Ouvert de 10 à 12 h, de 14 à 18 h.
Dans la continuité de cette initiative saluant cette sommité du monde intellectuel, bretonne et malouine aussi, un ouvrage est lancé en souscription au prix de 15 euros pour les adhérents de la SHAASM. Un ouvrage des éditions Cristel laissant une large part à l'iconographie afin d'élargir le cercle des passionnés de Louis Duchesne. Cet ouvrage est la quatrième de la collection "Les Dossiers de la Société d'Histoire" des éditions Cristel ( "Jean de Chatillon, second saint fondateur de Saint-Malo", "Anne de Bretagne et Saint-Malo", "Août 1944, Saint-Malo libéré" ).
Louis Duchesne, l'incontournable monument de l'Histoire, collectif (Boucher, Miniac, Ruaux, Vauchez, Waché), Editions Cristel, Saint-Malo, 180 pages, mars 2017. Prix public : 18, 50 euros.

Louis Duchesne, une mémoire de l'intime


"Louis Duchesne, une mémoire de l'intime", colloque sur Louis Duchesne (1843-1922) du 17 octobre 2016. Une exposition consacrée à cet archéologue, historien et membre de l'Académie française se déroule du 17 au 27 octobre 2016 à Saint-Malo et Saint-Servan-sur-Mer, organisé par la Société d'Histoire et d'Archéologie de l'Arrondissement de Saint-Malo et la Ville de Saint-Malo présidée par Mme Annick Magon de Saint-Elier.
Le colloque a eu lieu dans la salle du théâtre Chateaubriand (6, place Groult Saint-Georges, intra-muros), de 9 h 30 à 17 h 30.
Une réception s'est tenu vers 18 h 00 autour d'un vin d’honneur. Après une présentation de Mme Magon et de l'anthropologue Jean-Luc Blaise, cinq conférences ont eu lieu autour de la vie et de l'œuvre de l'illustre Malouin, dont : "Duchesne l’archéologue, 1872-1894" par M. Christian Bouchet ; « Duchesne, directeur de l’EFR, 1895-1922 » par M. André Vauchez ; "Mgr Louis Duchesne, l'humour "sale gosse" d'un prélat iconoclaste" par M. Jean-Yves Ruaux ; l'historien de l'ancienne église par Mme Brigitte Waché.
LE TELEGRAMME DE BREST DU 14 OCTOBRE : "Lundi, la Société d'histoire et d'archéologie (SHAASM) consacre un colloque à Mgr Duchesne, fils de pêcheur servannais, prêtre, historien, directeur de l'École française de Rome, académicien et humoriste. Explications. Moins connu que Surcouf parce qu'il ne fut ni pirate, ni marchand d'esclaves, Mgr Duchesne (1843-1922) était, selon le pape Paul VI, « un être libre, et par conséquent plein de surprises et riche de révélations... un esprit pour le moins très indépendant dans la critique ». La SHAASM lui consacre un colloque 43 ans après le symposium organisé par le Vatican pour réhabiliter le grand historien de l'église dont certains ouvrages avaient autrefois été interdits comme... sulfureux ! Mais cet audacieux homme d'Église était un héritier de l'ironie de Voltaire dont il faisait profiter les salons et la presse parisienne. Célèbre, il apparaissait même dans des « pubs » de la Belle Époque. Un drôle de prêtre. Il nageait dans l'anse Saint-Père Jean-François Miniac, historien du crime, dressera le portrait de Duchesne. Gamin des grèves, professeur à Saint-Brieuc, puis Monsignore romain, revenant l'été, nager, écrire et lire dans l'anse Saint-Père, pour présider avec humour et solennité le 15 août, à Sainte-Croix.
L'humour ravageur est la signature de Duchesne, comme l'évoquera Jean-Yves Ruaux. Son humour n'épargne ni les cardinaux, ni Marie Curie ! Un rebelle servannais surdoué que rien ne destinait à devenir historien de l'église et seul ecclésiastique dont Jean Jaurès salua l'élection à l'Académie française (1910)... contre un cardinal dans l'Humanité ! Chasseur de papes
Mgr Duchesne est ordonné prêtre à Saint-Brieuc (1867). Il déteste les études religieuses et leur préfère l'archéologie qu'il pratique en Grèce à partir de 1874, comme le rappellera Christian Boucher.
Brigitte Waché, de l'université du Mans, lui a consacré ses recherches et parlera de l'historien de l'église ancienne ; d'autres diraient chasseurs de papes car il élimina de la liste historique ceux dont l'existence n'était pas vérifiée. Duchesne écrivait beaucoup, avec vivacité, mais cela ne l'empêcha pas de diriger pendant 27 ans les chercheurs à l'École française de Rome. Période que l'académicien André Vauchez, son successeur, retracera.
Concoctée par M. Christian Boucher, concepteur de l'ensemble des manifestations, l’exposition (du 17 octobre au 27 octobre inclus) se tient au centre ville de Saint-Servan, dans la salle Bouvet, au premier étage du Théâtre sis 6, place Bouvet, devant l'ancienne mairie.
Dans la continuité de cette initiative saluant cette sommité du monde intellectuel, bretonne et malouine aussi, un ouvrage est lancé en souscription au prix de 15 euros pour les adhérents de la SHAASM. Un ouvrage des éditions Cristel laissant une large part à l'iconographie afin d'élargir le cercle des passionnés de Louis Duchesne. Cet ouvrage est la quatrième de la collection "Les Dossiers de la Société d'Histoire" des éditions Cristel.
Louis Duchesne, l'incontournable monument de l'Histoire, collectif (Boucher, Miniac, Ruaux, Vauchez, Waché), Editions Cristel, Saint-Malo, 180 pages, mars 2017. Prix public : 18, 50 euros.

samedi

Les Grandes affaires de l'Histoire, n°26, octobre-novembre-décembre 2016


Pour ce numéro 26, Les Grandes Affaires de l'Histoire devient trimestriel et court sur octobre-novembre-décembre 2016. Cette nouvelle formule du magazine est consacrée à l'histoire des Etats-Unis, de la Constitution de 1787 à la politique de Barack Obama, en passant par la guerre de Sécession ou le New Deal du président Roosevelt. Un nouveau logo, une mise en page davantage épurée, plus aérée avec toujours une sélection iconographique de premier ordre sont proposées aux lecteurs.
Les Grandes affaires de l'Histoire, n°26, octobre-novembre-décembre 2016.

lundi

Les Grandes Affaires Criminelles n° 10 (août-septembre-octobre 2016)


Bert Spaggiari, Emile Buisson, Jules Bonnot, Pierre Loutrel, Jacques Mesrine, le gang des Lyonnais et l'attaque du train postal Glasgow-Londres font l'objet de sept articles signés Jean-François Miniac dans le nouveau numéro du trimestriel des Grandes Affaires Criminelles. Dans ce superbe magazine grand format laissant une part belle à l'iconographie et au talent du graphiste Franck Lecacheur, une vingtaine des " plus grands vols et braquages de l'Histoire" sont évoquées sur 150 pages par cinq auteurs, Jean-Michel Cosson, Philippe Grandcoing, Michel Benoit, Christophe Belser et votre serviteur : du poète François Villon au vol du "Cri" et de la "Madone" du peintre Edvard Munch, en passant par Arsène Lupin, Al Capone, Bonnie and Clyde. Père du commissaire Merle, le romancier bourguignon Michel Benoit revient notamment sur le massacre de la Saint-Valentin. Aujourd'hui, ce titre de presse s'est imposé comme la revue emblématique de l'histoire de la criminalité en France. Bref, concocté par Anthony, ce numéro s'avère être une belle lecture, estivale et salvatrice, à déguster les doigts de pied en éventail dans le sable balnéaire, la tête dans ces incroyables récits de mauvais garçons. En somme, le temps conférant une indéniable patine aux affaires saillantes du passé et anéantissant la charge émotionnelle initialement inhérentes à celles-ci, cette lecture reste un échappatoire à la trivialité ambiante de ces jours anxiogènes.
Les Grandes Affaires Criminelles n° 10, est disponible dans tous les bons kiosques de France, de Navarre et du Diable Vauvert.

vendredi

Les Grandes affaires de l'Histoire, n°24, juillet-août 2016


Retrouvez à nouveau la plume de Jean-François Miniac dans le numéro 24 du bimestriel Les Grandes Affaires de l'Histoire, celui de juillet-août 2016 centré sur les femmes saillantes du XXe siècle et la guerre d'Espagne, brouillon de la Seconde Guerre mondiale. Parmi dix plumes, Michel Benoit narre les destins de Marie Curie et de Simone de Beauvoir. Ma dernière interview est celle consacrée à l'excellent Christian-Louis Eclimont, écrivain et historien du cyclisme comme de la chanson, précisément autour des chansons de l'Histoire de France auxquels il consacre un ouvrage. Ce magazine illustré d'une pertinente iconographie et d'une belle mise en pages, c'est aussi et surtout 150 pages d'Histoire et d'histoires écrites par des historiens, des universitaires et des narrateurs de l'histoire.
Les Grandes affaires de l'Histoire, n°24, juillet-août 2016.

Les Grandes Affaires Criminelles, n° 9s (été 2016)


Ecrit par Sylvain Larue, Vincent Brousse, Alain Dommangé, Charles Bottarelli, Bruno Dehaye, Christophe Belser, Thierry Desseux et votre serviteur, ce numéro spécial du magazine Les Grandes Affaires Criminelles s'avère une compilation de récits de crimes passionnels et d'affaires insolites. Quatre des récits sont de la plume de Jean-François Miniac : Mestorino, Renaud et Courtois,
Les Grandes Affaires Criminelles, n° 9s (été 2016), est disponible dans tous les bons kiosques de France et de Navarre.

lundi

Léon Trémisot (1808-)


Léon Trémisot est un peintre et dessinateur français né à Paris en 1808. Oeuvre Considéré comme un peintre de marines, Trémisot exposa ses huiles sur toile au Salon à Paris de 1846 à 1893. Son oeuvre comprend aussi nombre de dessins et aquarelles, en témoignent des paysages de Saint-Cloud, de Venise, de Bretagne, des natures mortes, des voiliers et des pêcheurs. Elle comprend également des lithographies, tel Le Tombeau de Chateaubriand ou encore Château et Casino de Saint-Malo. On lui doit notamment un Souvenirs des bords de Rance près de Saint-Servan ; vue prise de la Vicomté exposé au Musée Royal à Paris en mars 1846 et un Saint-Malo vu de la pointe de Dinard, peint en 1840 et négocié 3600 euros en 2002. Dans sa production, son huile représentant une vue de Saint-Malo depuis la Vicomté en 1865 est remarquable. Anciennement dans les collections de la famille de Robert Surcouf, son toile intitulée Abordage du Triton par le Cartier est propriété de la ville de Saint-Malo depuis 1977, par legs aux Musées de France, et est aujourd'hui conservé au Musée d'histoire de Saint-Malo. Ce musée conserve également trois autres oeuvres : la toile Le tombeau de Chateaubriand sur l'île du Grand bé. datée de 1850 ; une aute toile, Vue de Saint-Malo, datée aussi de 1850 ; La vue de Saint-Malo, une commande exécutée en 1850-1852 et exposée en 1853. En 1845, Trémisot réside au 55 rue du Faubourg Saint-Denis à Paris. Il résida également au 10 rue Chabrol à Paris, ou encore au 10 rue des Magasins. La signature du peintre est : "L. Tremisot".
Une œuvre de Trémisot conservée au Musée d'histoire de Saint-Malo.
Une mer houleuse signé Trémisot.
Aquarelle, 21 par 30.

Miniac sur France 24


Sur la chaîne télévisée internationale France 24, le magazine hebdomadaire "Sept Jours en France" consacre un reportage à Guillaume le Conquérant à l'occasion du 950e anniversaire de la Bataille d'Hastings. Le 14 octobre 2016, le documentaire de 12 minutes 30 intitulé "Guillaume, une vie de conquête" présente longuement notre travail sur Guillaume.
La commémoration est l'occasion de présenter à nouveau ce travail dans la presse régionale, ici dans le n° 15 du trimestriel MyNormandie (numéro d'automne 2016) ou encore dans l'hebdomadaire Tendance Ouest Magazine du 13 octobre 2016.

Edmond Pierre Bazire, peintre français


Edmond Pierre Bazire est un peintre français né en 1938. Poétique, sa production picturale s'apparente quelque peu à l'art naïf par la précision de sa figuration mais s'en démarque nettement par la justesse de ses perspectives et de ses atmosphères colorées. Ses sujets sont essentiellement des paysages, dont nombre situés en Normandie. Il est toujours actif en 1972.
Ce village normand peint par Bazire est l'antithèse d'une vison de carte postale. Le sujet communément principal, l'église, est masqué par la frondaison des arbres tandis que le sujet de la toile est révélée : la mise en scène du trivial travail des jardins en pourtour des villages. Je suis à la recherche de toute information sur ce peintre. Grand merci.

mardi

Kremke, peintre de l'école suisse


La toile ci-dessous, datée de 1874 et présentée comme présentée étant une œuvre de l'école suisse, est signée M. Kremke. Elle a été exposée à Berlin, à l'exposition annuelle des arts de Prusse, probablement en 1875.
La qualité de son travail pictural, de son clair-obscur et de sa composition laisse deviner un artiste-peintre au parcours académique. Or, je ne trouve rien sur lui sur le net. Peut-être l'orthographe de ce patronyme germanique est-elle un peu erronée ? Tout renseignement sur ce peintre, M. Kremke, serait la bienvenue.

Thierry Bruet honoré par la Fondation Taylor


Artiste dont l'une des toiles a illustré la couverture de mes Flamboyants Escrocs de Normandie paru voici quelques années maintenant, l'artiste-peintre parisien Thierry Bruet nous apprend que, depuis le 15 juin 2016, une de ses compositions picturales a reçu le Prix Fernand Cormon (1845-1924) de peinture, prix annuel décerné par la prestigieuse Fondation Taylor (1844) à un peintre figuratif lors de son assemblée générale au théâtre Saint-Georges à Paris. Par le passé, ce prix doté a honoré d'autres grands peintres figuratifs, parmi lesquels l'élégiaque Robert Delval, le mystérieux russe Igor Bitman, le sombre Laurent Dauptain. Toutes mes félicitations au sympathique récipiendaire dont l'acuité du regard ironique et expressionniste éclate de toile en toile.

Wislin, peintre.


Charles Wislin, né à Gray en 1852 et mort en 1932, est un artiste-peintre français. Biographie Le Franc-Comtois Charles Joseph Victor Wislin est le fils de Joseph Wislin (1804-1893), pharmacien chimiste à Gray. Il est l'élève de Jules Noël et de Jean-Paul Laurens. La fortune familiale étant assurée par les brevets pharmaceutiques de son père ( conservation de produits alimentaires, dont la viande en 1832, etc.), le licencié en droit Charles Wislin peut mener une vie aisée à Paris, résidant au 46 rue de Rennes, puis au 26, avenue de Wagram à Paris jusqu'en 1891, date à laquelle il fait édifier un immeuble au 28, rue Ballu1. En 1892, la Société J. Wislin et Cie (fabrication du « papier Wlinsi », et des « perles purgatives Guyon »), siège au 31 rue de Seine à Paris.
Charles Wislin se consacre essentiellement à la peinture des paysages de Montmartre et multiplie les voyages, tant en France qu'à l'étranger, notamment en Italie. Il est notamment présent à Fréjus en 1881, à Cabourg en 1900, à Pierrefond en 1901, à Pont-Aven en 1906, 1907, 1910, à Quimperlé en 1910, à Binic en 1911, à Thonon-les-Bains en 1912, à Carolles en 1913 et 1914, à Dinard en 1916 et 1917, à Pierrefitte-Nestalas en 1918, à Argelès-Gazost et à Luz en 1919, à Diekierch en 1925, au château de Jaulzy en 1928, à Tessé-la-Madeleine en 1929. En France, outre Fontainebleau et les côtes picardes, ce paysagiste amateur de photographie peint aussi la Bretagne, le vieux Saint-Servan d'avant-guerre entre autres et son quartier de la Cité d'Aleth, la maison de l'académicien Louis Duchesne où résident sa fille Yvonne et son gendre, l'architecte Alexandre Miniac. Pastels et huiles sur toile de petits formats forment l'essentiel de l'œuvre de ce pleinairiste remarqué dès 1886 par Guy de Maupassant. Durant plus d'un demi-siècle, ses œuvres sont exposées aux Salons annuels à Paris : Artistes français, Indépendants. Actuellement, une grande partie de son œuvre appartient à son petit-fils, l'avocat parisien Marcel Wislin, par ailleurs donateur de plaques photographiques de Lucien Tignole au musée du quai Branly.

Expositions Salon des artistes français, Paris, 1880. Salon des artistes français, Paris, 1881. Salon des artistes français, Paris, 1883. Salon des artistes français, Paris, 1884, salle 27 : deux paysages d'Etretat. Salon des artistes français, Paris, 1885 : "Labour d'automne en Picardie". Salon d'Etretat, été 1885. Salon des artistes français, Palais des Champs-Elysées, Paris, mai 1886. Salon des artistes français, Palais des Champs-Elysées, Paris, mai 1887. Salon des artistes français, Palais des Champs-Elysées, Paris, mai 1888. Toile "Honfleur", salle 29. Exposition universelle de Paris, 1889, exposition de la toile "Journée d'août sur les falaises d'Etretat". En 1889, il devient membre honoraire des artistes français. Salon des artistes français, 1890. Salon des artistes français, 1891. Salon des artistes français, 1893. Salon des artistes français, Champs-Élysées, 1895 : toile "Le champ du repos". Galerie Chaine et Simonson, au 19, rue Caumartin, à Paris : exposition collective en 1899. Salon des artistes français, 1899, exposition des toiles "Ciel sur Montmartre" et "L'église du Sacré-Cœur".. Exposition universelle de Paris, 1900. Cercle de la rue Volney, exposition collective, 1901. Cercle de la rue Volney, exposition collective, 1902. Cercle de la rue Volney, exposition collective avec Charles Léandre, André Devambez et Lucien-Victor Guirand de Scevola, 1905. Salon des artistes français, Grand-Palais, Paris, 1906. Salon de la société des Indépendants, Jardin des Tuileries, Orangerie, 1906. Sept toiles dont "La retenue au Tréport", "Blés à Moussy", "Saint-Gilles à l'Ile-Bouchard", "La Vienne à L'Ile-Bouchard", "Roches à Trestraou" et "Le château à Trestignel". Salon de la société des Indépendants, Jardin des Tuileries, Orangerie, 1908. Cinq toiles : "La mer à Perros-Guirec", "A Trestraou", "Côte de Port-Manech", "La pointe de Trévignon" et "La chapelle Saint-Philibert" . Salon de la société des Indépendants, Jardin des Tuileries, Orangerie, avril-mai 1909. Deux toiles : "Marée basse à la baie du Hénant, Finistère" et "Larchant, novembre". Salon de l'Ecole française, Grand-Palais, Paris, janvier-février 1911. Wislin est membre du jury. Salon d'hiver, Grand-Palais, 1926, Salon d'hiver, Grand-Palais, février-mars 1930. Six toiles dont "Saint-Valéry-sur-Somme", "Le fort national à Saint-Malo", "Le Tréport". Wislin est alors sociétaire du salon d'hiver. Salon d'hiver, Grand-Palais, février-mars 1933. Depuis 2006, le Musée d'Orsay référencie Charles Wislin (Notice Artiste n° 79710). Prix Wislin est primé à l'Exposition Universelle de Paris en 1900. Critique "Une petite charrue abandonnée est peinte avec grand talent par M. Wislin" Guy de Maupassant, journal Le XIXe siècle, 10 mai 1886, à propos du Salon. Collections Wislin est présent dans les collections de : Charles Hermann-Léon, Notes et références 1.↑ Photographies de la façade sur bricksinparis.blogspot.fr Sources (fr) Emmanuel Bénézit, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays (14 vol.), éditions Gründ, 1999 (4e édition) (ISBN 2-7000-30109) Charles Watt, A monthly journal of chemical and physical science, London, 1842. Annales d'hygiène publique et de médecine, Baillière et fils, Paris, juillet 1857. Théodore Véron, Dictionnaire Véron, Salon de 1880, Bazin, Paris, 1880 (article sur Wislin, p 505). Théodore Véron, Dictionnaire Véron, Salon de 1881, Bazin, Paris, 1881( long article sur Wislin, p 493). Emile Bellier de la Chavignerie, Dictionnaire général des artistes de l'Ecole Française, 1882,long article sur Wislin p 725. Eugène Véron, Courrier de l'Art, hebdomadaire, 1883. Citation de l'envoi de Wislin au Salon de 1883, page 171. Théodore Véron, Dictionnaire Véron, Salon de 1884, Bazin, Paris, 1884 (article sur Wislin, p 407). L'Europe artiste, 6 janvier 1884. Le Monde illustré, 14 juin 1884, critique élogieuse sur sa participation au Salon. Gil Blas, 16 septembre 1885, citant Wislin. Le Radical, premier mai 1888, article sur le Salon citant l'envoi de Wislin. Auguste Dalligny, Agenda de la curiosité, des artistes et des amateurs, Journal des Arts, Paris, 1889. Le Gaulois, 26 avril 1895, citation d'un envoi de Wislin. Le Gaulois, 12 avril 1899, citation de Wislin. Le Rappel, 26 janvier 1901, article sur l'exposition du cercle Volney citant l'envoi de Wislin. L'Humanité, 27 février 1905, citant positivement Wislin à sa Une. L'Aurore, 21 janvier 1911, citation de Wislin. La France judiciaire, 5 juin 1932, annonce du décès de Wislin. Léo Kerlo et Jacqueline Duroc, Les peintres des côtes de Bretagne, tome 4 (de Quimper au Pouldu), Chasse-Marée-Glénat, 2006. (ISBN 9782914208833) Dictionnaire des Peintres à Montmartre, éditions André Roussard. 
Cote : les prix en vente publique varient entre 80 et 500 euros selon le format des huiles. De facto, les cessions sont faibles.

Seconde carte postale


Une nouvelle carte postale de la rue des Forges à Bazouges-la-Pérouse(35), œuvre d'Alexandre, est en cours de réalisation avec l'aimable autorisation du collectionneur Pierre-Henri Brunet.