mercredi

Signature dans le Bessin


Une signature bayeusaine débutant au champagne...
... et s'y finissant ne peut être une mauvaise date, ce d'autant que l'organisation est huilée, les collègues charmants et le public présent.
Bref, un idéal de signature !

Patrimoine normand n°86


Dans le numéro 86 du trimestriel Patrimoine Normand, celui de l'été 2013, retrouvez la signature de Jean-François Miniac pour sa chronique criminelle d'une retentissante affaire cauchoise du XIX ème siècle, jugée en son temps aux Assises de Seine-Inférieure à Rouen. Jean Moncorgé alias Jean Gabin à la Une du numéro de l'été 2013 de Patrimoine Normand (n°86). Sommaire : - Orderic Vital et les premiers historiens normands - Harfleur, cité médiévale - Bayeux : un week-end pour l'histoire - Côte d'Albatre : curieuses villas - Journal de bord de ma Normandie bleu - Jean Gabin, paysan normand - Le Château d'Eu - Affaire criminelles de Normandie - Deauville, la fin des Années Folles - Cambremer, terroir d'excellence - Recette normande : Tarte normande aux poires - Actualité de la Fondation du Patrimoine - Cheval en Normandie

Patrimoine normand n°85

Dans le numéro 85 du trimestriel Patrimoine Normand, celui du printemps 2013 qui sort le 12 avril précisément, retrouvez la signature de Jean-François Miniac pour sa chronique criminelle consacrée à une affaire médiévale, laquelle est aussi commémorée à La Ferté-Macé le 18 mai 2013, en la présence de Michel Pastoureau. Sommaire : - Editorial des délégués de la Fondation du Patrimoine (1 page) - Château et Jardin de Boutemont (7 pages) - Dossier Val de Seine : " Tous en Seine " (20 pages) - Journal de Bord de Michel de Decker : Maisons Hantées et Dame Blanche (4 pages) - Affaire criminelle en Normandie : La truie de Falaise (4 pages) - Normandie Impressionniste (12 ou 14 pages) - Portfolio : Des cloches normandes à Notre-Dame de Paris (16 pages) - Deauville après les années folles (6 pages) - l'histoire du château de Caen (10 pages) - Recette Normande : la tourte Guillaume (2 pages) - Nouveau : l'actualité de La fondation du Patrimoine dans les colonnes du magazine (2 pages) - Langue Normande (2 pages) - Cheval en Normandie (4 pages) - L'agenda du Printemps (4 pages)

Jan Guillou


Un Jan Guillou assiste en 1732 à l'inhumation de Renée Blanchard, mère de Noël Duchesne (-). Peut-être est-il propriétaire de la crédence ?

Charles Wislin le Montmartrois



(Autoportait. ) Charles Joseph Victor Wislin est un artiste-peintre impressionniste français, né à Gray (Haute-Saône) en 1852. Le Franc-Comtois Charles Joseph Victor Wislin est le fils de Joseph Wislin (1804-1893), pharmacien chimiste à Gray (* Charles Watt, A monthly journal of chemical and physical science, London, 1842. * Annales d'hygiène publique et de médecine, Baillière et fils, Paris, juillet 1857). Licencié en droit, il est surtout l'élève du peintre pleinairiste breton Jules Noël, alors professeur de dessin au lycée Henri-IV à Paris, et du peintre académique Jean-Paul Laurens, enseignant à l'Académie Julian et l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris (L'Excommunication de Robert le Pieux 1875, Musée d'Orsay). La fortune familiale étant assurée par les brevets pharmaceutiques de son père (patch, papier Wlinsi, conservation de produits alimentaires, dont la viande en 1832, etc.), Charles Wislin peut mener une vie aisée, résidant au 46, rue de Rennes (XIVème arrondissement)en 1884, puis au 26 avenue de Wagram, non loin de l'Arc-de-Triomphe à Paris jusqu'en 1891, date à laquelle il fait édifier un immeuble de style flamand dans le quartier Saint-Georges, au 28 rue Ballu, anciennement rue de Boulogne, une rue partant de la place de Vintimille, dans le IXème arrondissement.
Exposant aux salons des artistes indépendants ( La lisière du bois, salon de 1879), au salon de mai 1881 ( Plateau du Long-Rocher, en forêt de Fontainebleau), au salon des Artistes français au Palais des Champs-Elysées en mai 1884 (Journée d'août, sur les falaises d'Étretat et A travers champs, Étretat) et en 1890 (Les bords de la Seine à Porcheville, Seine-et-Oise), à l'Exposition universelle de 1889 à Paris (Journée d'août sur les falaises d'Étretat, 1884), au salon des artistes vivants au Palais des Champs-Elysées en mai 1895 (Le champ de repos) et au salon de la Société nationale des Beaux-Arts (A Honfleur et Ciel sur Montmartre en 1899), primé à l'Exposition Universelle de Paris en 1900, il se consacre essentiellement à la peinture de paysages, à Montmartre notamment, et multiplie les voyages, tant en France qu'à l'étranger, entre autres en Italie. En France, outre la forêt de Fontainebleau (Plateau du Long-Rocher), Arbonne-la-Forêt en Seine-et-Marne (Chemin abandonné allant à la mer de sable, 1881), la Riviera, Fréjus toujours en 1881, les côtes normandes et picardes, ce paysagiste peint aussi la Bretagne, Quimperlé, le vieux Saint-Servan d'avant-guerre entre autres, le quartier de la Cité d'Aleth, la maison de l'académicien Louis Duchesne où résident sa fille Yvonne Wislin et son gendre aquarelliste.
(Saint-Servan, par Armand Guillaumin, qui correspond à la vue depuis la maison bleue, celle de Louis Duchesne, pas de celle Maxime Leforestier) Pastels et huiles sur toile de petits formats forment l'essentiel de cette œuvre impressionniste.
(Village par Wislin) Charles Wislin décède en 1932. Son oeuvre est catalogué dans l'annuaire du Bénézit : * Emmanuel Bénézit, Dictionnaire critique et documentaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs de tous les temps et de tous les pays (14 vol.), éditions Gründ, 8 février 1999 (4e édition) (ISBN 2-7000-30109)
La maison de Louis Duchesne est celle la plus à gauche, blanche, sur le promontoire de la cité d'Aleth.