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Supervisée par Robert Hébras, dernier témoin d'Oradour, la première BD sur la tragédie du 10 juin 1944


Je me permets de communiquer sur le sujet puisque le projet de BD  en cours est public sur le net, en première page Google, depuis mars 2022, et surtout  dans "Le Populaire du Centre" depuis ce mois de février 2023.



L'album avec le logo de la Mission Libération.



Initiée et supervisée par Robert Hébras, "dernier témoin d'Oradour", la première BD sur la tragédie du 10 juin 1944  paraitra en 2024.  L'album est aussi accompagnée par Camille Senon, désormais ultime témoin direct de la tragédie depuis la récente disparition de Robert. Cet album est une première, voulue par Robert, au nom des siens.



Quatrième de couverture de l'album.

Pour la petite histoire, Robert nous disait apprécié le médium BD. Dès l'âge de onze ans, il présidait à Oradour un club de lecture d'un magazine français de bande dessinée, hebdomadaire publiant Alain Saint-Ogan, Erik, Bellus.


Exposition Oradour 10 juin 1944 

Focalisée sur l'album de bande dessinée initiée à la demande de M. Robert Hébras en 2020, l'exposition  Oradour 10 juin 1944 revient sur le contexte historique de la tragédie d'Oradour et les coulisses du travail des auteurs (scénario de Jean-François Miniac, dessin de Bruno Marivain). Elle comporte notamment quelques-uns de mes 50 portraits au crayon réalisés à l'été 2021, lors de la réalisation du scénario.

Du 17 mai au 22 juin 2024 à la BFM de Limoges. Conférence le 17 mai.


Le 17 mai à 17 h 30, M. Emile-Roger Lomberty, maire de Limoges, a prononcé un discours inaugural de l'exposition, suivi d'une prise de parole de M. Philippe Lacroix, maire d'Oradour, puis de Bernadette Malinvaud, présidente de l'OHVR.


Genèse de la BD

Entamé début 2021, fidèlement accompagné par les historiens Philippe Grandcoing, Dominique Danthieux et Bernadette Malinvaud de l'association Oradour HVR (Histoire, Vigilance et Réconciliation), le scénario a été validé à Limoges en décembre 2021 par les six instances concernées  ( M. Benoît Sadry, président de l'Association nationale des familles des martyrs d'Oradour-sur-Glane ; Mairie d'Oradour ;  Académie de Limoges ; Anciens Combattants ; DRAC Aquitaine ; Centre de la Mémoire d'Oradour...). 

Validation actée, un éditeur belge choisi par les diverses parties, M. Nicolas Anspach, a porté aussitôt l'album avec l'enthousiasme et l'investissement souhaités, sensible à la tragédie qu'il avait lui-même découvert dans sa jeunesse et aux choix artistiques envisagés par les acteurs initiaux.

Et le dessinateur pressenti s'est illico mis au travail sur la base de ce scénario notamment enrichi de quelque 2 000 photographies prises sur les lieux, des portraits déjà évoqués aussi, des cartes postales transmises par un collectionneur, de l'entière documentation que M. Robert Hébras a eu la gentillesse de me confier. Sans omettre le regard attentif de ce dernier comme des historiens d'Oradour HVR, de deux autres témoins de l'époque encore, tout au long de la réalisation.

Petit à petit, à raison de trois à quatre planches par mois, Bruno Marivain réalise un véritable travail de bénédictin, minutieux et généreux, d'une précision historique hors-pair, dans le strict respect des familles comme de l'histoire.




Jean-François Miniac et Bruno Marivain (à droite), en repérage à Oradour en avril 2022.

Malheureusement, M. Robert Hébras est décédé en février 2023 à l'âge de 97 ans, sans voir vu l'achèvement de la BD auquel il aspirait tant, notamment comme vecteur de transmission de la tragédie pour les plus jeunes générations. Robert aura finalement accompagné la totalité du scénario, du découpage dessiné, et une moitié des planches dessinées.  Pour autant, notre grand regret reste qu'il n'aura pas eu le plaisir d'avoir l'album entre les mains.





 Avec Bernadette et Henri Malinvaud, aux émouvantes obsèques de M. Robert Hébras
 le vendredi 17 février 2023 à Oradour-sur-Glane.

Riche de quelque 80 planches, l'album paraîtra pour juin 2024, quelques jours en amont du 10 juin, à l'occasion du 80ème anniversaire de la Libération.


Cet album est naturellement dédié à Robert et Camille


Un souvenir heureux, 
Robert Hébras ( à gauche) et Jean-François Miniac  au domaine de Laplaud 
à Oradour-sur-Glane en mai 2022.




Par la qualité, l'album a l'honneur de bénéficier du parrainage de la Mission Libération, l'organisme national chargé de labelliser les actions relatives à la commémoration du 80ème anniversaire de la Libération de la France.


Outre cette labellisation départementale et nationale, l'album a l'honneur d'être adoubé par l'Association nationale des familles des martyrs d'Oradour-sur-Glane.  









ENTRETIEN

Un entretien de Jean-François Miniac réalisé en novembre 2023 par Nicolas Anspach, éditeur de la BD.

Oradour 1944 – L’Innocence assassinée  ou comment raconter l’indicible en bande dessinée  ? Comment parler de telles atrocités ? Comment raconter la barbarie sans tomber dans le voyeurisme, en respectant la mémoire des victimes et de leurs descendants? Un défi que Jean-François Miniac et Bruno Marivain, les auteurs, ont relevé avec talent et humilité, conscients du rôle de passeurs qui leur était transmis par Robert Hébras, le dernier survivant du massacre.

Nicolas Anspach : Comment est né ce projet de bande dessinée relatant le massacre d'Oradour-sur-Glane ?

Jean-François Miniac : L’album est né de la volonté de M. Robert Hébras, dernier survivant du massacre, de voir ce médium porter la tragédie qui l’a marqué à jamais et dont il était l’infatigable jalon de la mémoire. Cette aspiration à ce qu’une bande dessinée traduise Oradour en images répond à l’idée que Robert avait de la BD : un véhicule populaire auxquels les plus jeunes générations sont davantage sensibles. Transmettre à la jeunesse était sa priorité. D’ailleurs, Nicolas, vous avez découvert qu’en 1937, Robert animait un club de lecture consacré à Benjamin, le premier grand hebdomadaire français pour la jeunesse… Et cette revue publiait notamment des bandes dessinées.

NA : Quand avez-vous été contacté pour travailler sur ce sujet délicat ?

JFM: Lorsqu’en 2020, Oradour Histoire Vigilance et Réconciliation (OHVR), association des amis de Robert, m’a demandé de concrétiser son projet, je ne pouvais qu’accepter une telle mission mémorielle, tout en déclinant celle de le dessiner. Adolescent, Oradour m’avait en effet marqué, lorsque ma mère nous avait emmenés découvrir ses ruines, au retour de vacances cévenoles. Réaliser ce projet depuis longtemps tant désiré par son instigateur, le « dernier témoin d’Oradour», est un honneur et une marque de confiance, pour toute l’équipe.

NA : Quelles ont été les premières étapes avant d’écrire le découpage ?

JFM : Tout d’abord, il m’a donc fallu assimiler toute la littérature consacrée à Oradour. La première étape majeure a donc été la lecture des livres et de la presse, éclairée par la pertinence du regard croisé sur le sujet de trois agrégés d’histoire chevronnés, dont Philippe Grandcoing. Somme

toute, la difficulté a été d’articuler cette masse d’informations pour en constituer un récit à la fois choral et lisible, tout en tutoyant la plus scrupuleuse véracité historique. Robert, comme l’association, souhaitait en effet que la narration ne soit surtout pas centrée sur sa seule personne – avoir vécu cette tragédie collective au même titre que ses frères d’infortune lui interdisait tout individualisme inapproprié.

NA : Vous vous êtes ensuite rendu sur place…

JFM : Oui, au printemps 2021. En arrivant à Oradour, la toute première étape a été de me rendre un long moment au cimetière. Ce passage constituait pour moi un prélude incontournable à la réalisation d’une cinquantaine de portraits de victimes. En fin de compte, c’est pour toute la communauté villageoise que le projet a été initié. L’immersion a débuté le lendemain, un jour caniculaire… Comme ce fatidique 10 juin 1944. Je suis parti de Saint-Junien pour suivre scrupuleusement le parcours emprunté par les assassins, faisant halte dans les divers lieux où ils s’étaient arrêtés, j’ai ensuite redécouvert le village en ruines. Mais, cette fois, riche des connaissances historiques acquises en amont, j’avais le sentiment de mettre mes pas dans ceux de l’histoire dont je m’étais longuement imprégné. Oradour est une messe à ciel ouvert, saisissante, qui impose le respect, le silence même. Durant une semaine, j’ai arpenté ses rues en tous sens, pour récolter une moisson de photos, réalisant quelque 2 000 clichés, destinés au dessinateur. La rigueur de la démarche imposait également que les autres lieux soient aussi visuellement recensés, du moindre hameau par lequel la poignée de survivants transita, aux lieux par lesquels passèrent d’autres protagonistes, dont les nazis. Comprendre ainsi les espaces a affiné l’élaboration du récit.

NA : Comment appréhender une telle barbarie ?

JFM : Avec rigueur, respect et pudeur. L’une des questions morales majeures qui s’est posée et imposée à nous, a été celle de la représentation de l’horreur, de l’indicible, même si le dessin pose de facto davantage de distance avec le réel que l’image photographique. J’ai choisi d’éluder le macabre par respect pour les victimes et leurs familles. De surcroît, dans la réalité, les gens n’ont pu mesurer toute l’horreur du massacre que tardivement, il en est de même avec notre récit. À l’ostentatoire, l’allusif est à mon sens préférable. Naturellement, édulcorer visuellement la monstruosité du crime de guerre n’est aucunement le nier.




Marivain et Miniac entourant Robert Hébras.



NA : Mis à part l’association Oradour Histoire Vigilance et Réconciliation, le scénario et le découpage ont-ils été relus par d’autres intervenants ?

JFM : En décembre 2021 à Limoges, le tapuscrit a été soumis à un comité de lecture, constitué de six partenaires institutionnels. Cette réunion m’a permis d’apprécier l’acuité du regard historique du président de l’association nationale des familles des martyrs d’Oradour. Validé, le scénario, quelque peu amendé, a pris en compte les observations des uns et des autres, notamment le large abandon du langage populaire, initialement proposé par souci d’authenticité, mais dont l’usage pouvait heurter.

NA : En 2017, j’avais visité le site d’Oradour, et j’avais émis la possibilité de publier une BD sur le sujet. Au Centre de la Mémoire d’Oradour, on m’avait alors expliqué que ce serait compliqué. L’Association nationale des familles des victimes voyait d’un très mauvais œil ce type d’initiative.

JFM : Obtenir l’aval des familles des victimes était en effet moralement bien légitime, c’était même la moindre des choses. Longtemps, ce projet de bande dessinée aura été inacceptable à leurs yeux. Jusqu’alors, elles étaient réticentes aux représentations artistiques de la tragédie et particulièrement à la représentation visuelle des leurs. Aujourd’hui, l’arrivée de nouvelles générations, je pense à Benoit Sadry aux commandes de l’association et à Philippe Lacroix, maire d’Oradour, répond parfaitement aux aspirations de Robert.

NA : Finalement, j’avais abandonné cette idée, avant d’être contacté pour porter votre bande dessinée…

JFM : Oui, début 2022. Votre ligne éditoriale correspondait aux exigences de qualité des parties prenantes, mais ce sont votre dynamisme, votre sensibilité et votre sérieux qui les ont conquis. Le choix du dessinateur s’est alors focalisé sur Bruno Marivain, dont le réalisme minutieux confinant parfois à l’obsession, correspondait aux souhaits de Robert, comme à l’idée que nous nous faisons du devoir de respect envers les familles.

NA : Quelle a été l’implication de Robert Hébras ?

JFM : Depuis le début, l’implication de Robert a été constante, que ce soit personnellement ou par l’intermédiaire de Bernadette Malinvaud, présidente de l’association OVHR, qui sans cesse relayait mes fréquentes demandes d’informations auprès de lui. Naturellement, à chacun de mes séjours à Oradour, je me suis rendu chez Robert, qui habitait à deux pas du vieux village.

NA : Combien de séances de travail avez-vous eues avec lui ? En quoi consistaient-elles ?JFM : Une demi-douzaine. Pour l’essentiel, il s’agissait de discussions à bâtons rompus, entrecoupées de prises de notes et de réalisations de croquis. L’un des entretiens, celui du 14 avril 2022, a été ainsi enregistré. Tout comme celui de Louis Laplagne, un paysan de 102 ans qui a vécu le 10 juin non loin d’Oradour et dont la mémoire était encore d’une étonnante précision. En mai 2022, l’équipe a parcouru les ruines en compagnie de Robert. Cela a été l’occasion pour nous, et surtout pour Bruno Marivain, de mieux comprendre la topographie des lieux entre la grange Laudy et les clapiers voisins. Les croquis saisis sur le vif par Bruno, sur les directives de Robert, ont permis de reconstituer parfaitement ces espaces qui demeuraient bien abstraits à la lecture un peu aride des seules archives.

NA : Depuis 2021, avez-vous exécuté de nombreux croquis directement sous les directives de Robert Hébras, lors de vos séances de travail ?

JFM : Les croquis réalisés d’après ses indications font revivre les lieux dont il ne subsiste plus aucune image. En effet, l’iconographie sur l’ancien Oradour est extrêmement succincte : une bonne vingtaine de cartes postales d’avant-guerre, représentant essentiellement les intérieurs des bâtiments. Robert a notamment été sollicité pour reconstituer l’intérieur de sa maison familiale, celui de divers commerces, comme le coiffeur Morliéras, ou encore celui de l’église. Robert déplorait d’ailleurs que les témoignages des survivants n’aient jamais été sollicités pour fixer la mémoire visuelle des lieux. Mes interrogations concernaient souvent des aspects pratiques destinés à enrichir le récit même. Robert m’a confié la totalité de ses archives, quelques lourds dossiers dont j’ai pu reproduire les photographies aux Bordes et dans lesquelles Bruno a pu puiser. Ma curiosité se focalisait aussi sur la vie quotidienne du vieil Oradour, ses aspects sensibles, les sons, les musiques, les couleurs, les odeurs, les coutumes, les pratiques, les psychologies.

NA : Quel a été votre ressenti par rapport à ces séances de travail avec Robert Hébras ? 

JFM : En fait, au-delà du témoin emblématique prescripteur du projet, j’ai décJFM : En fait, au-delà du témoin emblématique prescripteur du projet, j’ai découvert un être humain attachant et, particulièrement, un grand-père attendrissant, avec son phrasé unique, chantant, son émouvante fragilité.  Sans même parler de son sens du devoir et de sa force de caractère. Quelle vie que la sienne ! Quelle leçon ! Robert répondait volontiers à toutes mes questions, de la plus banale à la plus personnelle. Je pense à la vie amoureuse du jeune Robert qu’il semble avoir eu plaisir à se remémorer, tout en jetant un voile pudique lorsque l’évocation d’un passé heureux mais révolu semblait particulièrement le toucher.

NA : En discutant avec Robert Hébras, j’ai immédiatement perçu que, près de 80 après, il était encore ému et triste en parlant du massacre. Un ex-voto remerciant Notre Dames de Lourdes a été posé dans l’église, le 4 mai 1942. Robert me disait, avec la gorge serrée, que, lorsqu’il se rendait dans les ruines de l’église, il ne manquait jamais de regarder cet ex- voto symbolisant l’un des derniers moments heureux vécu par sa petite sœur.

JFM : Un témoignage de sa force intérieure… Car, triste ironie, les deux sœurs et la maman de Robert ont disparu dans cette même église... De cette tragédie intime, nous laissions naturellement Robert, toujours pudique, évoquer ce qu’il souhaitait partager avec nous. Lors de ma première visite, la formulation et la nature de mes questions l’ont surpris - « C’est tellement autre chose que d’habitude ! », disait-il. Je crois que Robert ne s’attendait pas à ce qu’elles soient aussi pointues et que, quelques fois, cela l’a un peu « bousculé ». Mais, très vite, il a apprécié ces échanges, et a même pris plaisir et grand intérêt à cette démarche. Après chacune de nos rencontres, Robert revenait souvent vers Bernadette pour approfondir ses réponses : « J’ai repensé à ce que j’ai dit l’autre jour… » les yeux brillants de contentement et sourire aux lèvres, il ajoutait tel détail, telle anecdote ! Pour lui, le savoir était une vraie satisfaction…

NA : Robert Hébras est décédé en février 2023. Un hommage national lui a été rendu au Cimetière d’Oradour, avec notamment la présence de Pap Ndiaye, alors Ministre de l’Education Nationale représentant le Président de la République, et l’ancien Président François Hollande.

JFM : Un hommage national tout en émotion et à la hauteur de l’homme. Sensibles, les mots de Benoît Sadry ont notamment évoqué un ultime et saisissant pardon mutuel, celui de la petite-fille d’un nazi, dont le grand-père SS avait mitraillé le groupe de Robert dans la grange, et ce dernier, à l'été 2022.

NA : Concrètement Robert Hébras a-t-il validé votre travail ?

JFM : Bien entendu. Il a suivi le scénario, lu l’intégralité de mon découpage dessiné, puis vu les planches dessinées par Bruno. Malheureusement, le destin a voulu qu’il ne voit que la moitié de ces planches. C’est un grand regret qu’il n’ait pu avoir l’album entre ses mains.

NA : A-t-il été ému de se voir dessiné ?

JFM : Cela lui a fait plaisir, je crois, tout comme de voir représenter ses copains et les autres villageois. Sans doute que le petit lecteur de Benjamin qui demeurait en lui en a été satisfait... Surtout, il était heureux de l’avancée du projet, qu’il appréciait pas à pas, de savoir que la mémoire de la tragédie collective allait être transmise par un collectif de plus jeunes à destination d’encore plus jeunes. Sans doute éprouvait-il une certaine fierté, non exprimée bien entendu, d’être à l’origine de cette réalisation qui prenait forme sous ses yeux.


Camille Senon représentée dans l'album.


NA : L’autre dernier témoin direct, Camille Senon, a-t-elle été consultée ?

JFM : Bien entendu, Camille Senon a été associée. Depuis la disparition de Robert, elle désormais l’ultime rescapée d’Oradour. Cette dame de 98 ans, toujours éprise d’idéal communiste et toujours curieuse de la marche du Monde, force l’admiration. Bernadette (Malinvaud,) qui lui lit L’Humanité chaque semaine a permis ces touchants entretiens. Mes questions concernaient notamment la narration visuelle, Camille demeurant le dernier témoin de l’épisode du QG des SS, d’où son groupe a miraculeusement réussi à s’échapper, au soir du 10 juin. Camille est représentée dans l’album et nous nous ferons un plaisir de venir lui montrer, en juin prochain, l’ouvrage voulu par Robert, instigateur qui demeure toujours bien présent dans nos têtes et nos cœurs, et auquel j’aurais tant aimé offrir le fruit de notre travail collectif.




Un autre entretien complet, par François Macquaire, sur le site La Loutre Masquée :

https://www.laloutremasquee.com/historique/oradour-linnocence-assassinee-interview-de-jean-francois-miniac/


MEDIAS

En mars 2022, le Populaire du Centre annonce le premier l'existence de notre projet de BD, relayant la communication antérieure sur internet de l'association de défense de Robert Hébras.

Le 25 mars 2024, "L'Abeille-Le Nouvelliste", hebdomadaire de Saint-Junien (Haute-Vienne), ouvre réellement le bal de la communication sur l'album qui paraît fin mai aux éditions Anspach. Parfait départ géographique, puisque Robert Hébras résida longtemps à Saint-Junien, seconde ville de Haute-Vienne.

Le 31 mars, un hebdomadaire charentais de la région de Ruffec,  "L'Avenir Le Confolentais", emboite le pas du premier journal du Limousin.

Le 9 avril, un troisième article dans le magazine "Limoges Info 87" est distribué sur l'ensemble du département de la Haute-Vienne.




L'album "Oradour, L'Innocence Assassinée" figure parmi la sélection BD du  trimestriel Biblioteca (N° 2 de 2024, avril-mai-juin),  un magazine professionnel fondé en 1990 et destiné aux bibliothèques françaises. 



Le premier mai 2024, le journal télévisé du soir de France 3 Limousin présente l'album " Oradour 1944, L'Innocence assassinée" : "Un projet de BD a –lui– été initié directement par Robert Hébras avant son décès. Il souhaitait, par ce biais, sensibiliser encore davantage les jeunes générations sur cet événement historique et le devoir de mémoire. « Oradour 1944. L’innocence assassinée », paraîtra le 24 mai aux éditions Anspach. Cet ouvrage choral, que les auteurs Jean-François Miniac et Bruno Marivain ont conçu en collaboration avec plusieurs historiens, entend respecter la plus scrupuleuse véracité historique." (Gwénola Bériou)

En mai 2024, le mensuel DBD chronique en quelques lignes à notre album "Oradour 1944, L'Innocence Assassinée".

Le 4 mai, le site RosterCon place l'album "Oradour, L'Innocence Assassinée" dans les 7 albums BD/manga à ne pas rater en mai 2024, selon Sandrine Klam.

Le 5 mai, le Populaire du Centre annonce sobrement la conférence du 17 mai à la BFM de Limoges.

Le 6 mai 2024, l'Académie de Limoges informe de la conférence sur son site institutionnel.

Le 7 mai 2024, des planches sont présentées sur un site de collectionneurs, BdGest.

Le 10 mai 2024, le quotidien "Paris-Normandie" sort un bel article sur l'album, focalisant sur l'aspect scénaristique et la génèse de la collaboration avec Robert Hébras. L'article signé Christine Louis est signalé à la Une du quotidien régional.

Le 14 mai, le Populaire du Centre annonce sobrement la conférence du 17 mai à la BFM de Limoges.



Le 15 mai, le journaliste Morvan Léon publie sur le site du Télégramme de Brest un beau papier sur notre album : "Note 5/5  Guidés par un survivant du massacre d’Oradour-sur-Glane, perpétré par les SS en juin 1944, Jean-François Miniac et Bruno Marivain retracent en bande dessinée cette journée tragique, plongeant dans l’horreur, au plus près des habitants. Le 10 juin prochain marquera les 80 ans du massacre d’Oradour-sur-Glane, en Haute-Vienne. Ce jour-là, des soldats de la division blindée SS Das Reich ont tué 643 civils, dont plus de la moitié de femmes et d’enfants. Le scénariste Jean-François Miniac et le dessinateur Bruno Marivain publient une bande dessinée sur cette tragédie, suivant la volonté du dernier survivant d’Oradour, Robert Hébras. Le vieil homme, souhaitant que les jeunes découvrent ce crime au travers de la bande dessinée, a même corrigé les détails de planches. Quand il est mort en février 2023, ce témoin avait relu la moitié des pages du livre. Le récit dévoile cette journée à hauteur d’homme. On y croise des femmes et des hommes lors d’un samedi ordinaire, attendant le match de foot du dimanche, pour la plupart incapables d’imaginer le pire, face aux SS déterminés à semer une terreur bien planifiée. Parmi les femmes dessinées, Camille Senon, témoin de cette journée, aujourd’hui âgée de 98 ans."





Le 17 mai 2024, Jean-François Miniac et Philippe Grandcoing sont tous deux invités du journaliste Emmanuel Braud sur le plateau du Journal Télévisé de midi de France 3 Nouvelle-Aquitaine pour un focus de 4 minutes 30 sur l'album "Oradour 1944, L'Innocence assassinée".






Au soir du 17 mai,  la BFM de Limoges met en ligne la conférence "Oradour : Genèse d'une bande dessinée" sur sa chaine YouTube.

Le 17 mai, le très officiel Cercle Jean Moulin, président d'honneur Daniel Cordier, relaye l'article enthousiaste du Télégramme.

Les 19 mai, l'édition dominicale print du Télégramme de Brest publie à nouveau l'article élogieux de Morvan Léon sur notre album, auquel le journaliste accorde sa note de 5/5.



Le 19 mai, le Cercle Jean Moulin relaye l'article enthousiaste du Télégramme sur son site.

Le 20 mai, Jean-Claude Attali du webzine  Bulle d'encre publie une chronique positive sur l'album. "Il est de ces œuvres qui éveillent nos consciences. « Je me bats pour qu’on n’oublie pas. » Décédé le 11 février 2023 à Saint-Junien (Haute-Vienne), Robert Hébras, rescapé du massacre d’Oradour-sur-Glane, ne se lassait jamais de rappeler les faits tragiques du 10 juin 1944. Lui qui, à l’aube de ses 19 ans, aurait dû mourir dans le plus grand massacre de civils commis en France par les armées hitlériennes. Il était le dernier témoin direct de ce jour de printemps où la division SS Das Reich assassina 643 villageois : 241 femmes, 205 enfants et 197 hommes. Dans ce bourg rural paisible, la quasi-totalité de la population fut anéantie en quelques heures. Le 10 juin 2024 marque les 80 ans de ce massacre mais l’album   va plus loin… Cette bande dessinée et son découpage ont aussi été validés par la Drac Nouvelle Aquitaine, la mairie d’Oradour Sur Glane, son centre de mémoire, l’association Oradour Histoire Vigilance et Réconciliation, l’Éducation nationale, les Anciens combattants et bien sûr l’Association nationale des familles des martyrs d’Oradour, ville qui reste à jamais marquée par le sceau de l’infamie. Les ruines du village sont d’ailleurs devenues un lieu de mémoire et reçoivent chaque année près de 300 000 visiteurs. Il est à noté que cette  bande dessinée, fidèle à l’histoire, est fruit d’une collaboration initiée et accompagnée par deux ultimes témoins de l’Histoire, Robert Hébras et Camille Senon, et qu’il bénéficie de la labellisation nationale française « 80 ans de la Libération ». Puisse cet album porter haut la leçon d’Oradour : « Plus jamais cela ! »"

Le 21 mai, le Populaire du Centre consacre un article à notre album, neutre, factuel et court. Jusqu'alors, le quotidien du groupe Centre-France n'a pas relayé le vernissage de l'exposition, la conférence et l'exposition en elle-même. 


Le 22 mai, le site sceneario.com met en valeur l'album par une preview et publie une excellente chronique signée Vincent Degache. "Avec ORADOUR, Bruno Marivain, Jean-François Miniac et Cerise signent aux Editions Anspach un ouvrage méticuleux et passionnant, retraçant le massacre d'Oradour-sur-Glane par la Division SS Das Reich. Une réussite ! Oradour, publiée à l’occasion du 80ème anniversaire de la commémoration du massacre commis par les Waffen-SS de la 2e Panzerdivision Das Reich, dans le village de la Haute-Vienne d’Oradour-sur-Glane le 10 juin 1944, est né du souhait du dernier de la trentaine de survivants de la tragédie, Robert Hébras, qui a pu lire la moitié des pages dessinées, avant de mourir le 11 février 2023. (...) Quant au massacre en lui-même, écrit Degache, Bruno Marivain le traite habilement. Sans éluder ces moments terribles, il les dessine en gardant la pudeur nécessaire, sans effet voyeuristes ou mise en scène spectaculaire et macabre. Son trait réaliste et les couleurs sobres de Cerise, oscillant dans les teintes ocres, suffisent à nous faire toucher l’indicible, sans besoin d’artifices malsains. (...) Gageons que son traitement méticuleux de la tragédie, symbole de la barbarie nazie en France, la fluidité du récit, et le réalisme du dessin sauront séduire les lecteurs. Le dossier de fin d’ouvrage signé des historiens Dominique Danthieux et Philippe Grandcoing vient compléter avec intelligibilité, rigueur et synthèse le récit, appuyé de quelques photos." (https://sceneario.com/bd/oradour/)

Ce même 22 mai 2024, le site ligneclaire.info sort une excellente critique de notre album. " Le massacre d’Oradour-sur-Glane restera dans la mémoire collective comme le pire de tous ceux commis par les troupes allemandes en France occupéeécrit Jean-Laurent Truc, ancien rédacteur en chef du Midi-Libre. Le 10 juin prochain on commémorera les 80 ans du massacre. Pour l’occasion sort aux éditions Anspach un ouvrage remarquable, Oradour l’innocence assassinée de Jean-François Miniac au scénario, Bruno Marivain au dessin très travaillé et Cerise aux couleurs. Ils ont été guidés par le dernier survivant du massacre Robert Hébras. (...) Le récit est parfaitement construit, monte en puissance. On comprend que le hasard n’est pour rien dans cette tragédie programmée. Ratissage des alentours, femmes, enfants, vieillards, qui mourront dans l’église en flammes d’Oradour. On est avec les habitants à la fois pétrifié et terrorisé devant une telle horreur inhumaine. 247 enfants sont tués. Deux survivants et une haine barbare aura submergé le village martyr comme plus tard Vassieux-en-Vercors. Un ouvrage indispensable pour le devoir de mémoire."



Le 23 mai, L'Abeille / Le Nouvelliste consacre un bel article de Jean Grard consacré à l'exposition limougeaude, à son inauguration le 17 mai et à la conférence qui a suivi. « Tout le travail du scénariste et du dessinateur qui a conduit à ce résultat final, particulièrement réussi. » Le 27 mai, il est publié sur le net.



Ce 23 mai, le site Lire et Sortir écrit : "Oradour, L'innocence assassinée est une bande dessinée émouvante et marquante. Dès les premières pages, j'ai été transportée dans l'horreur du massacre d'Oradour-sur-Glane, racontée avec une précision historique et une sensibilité touchante. Les dessins de Bruno Marivain capturent à la fois la beauté tranquille du village avant la tragédie et l'horreur qui s'ensuit. Chaque illustration transmet une émotion brute, rendant la lecture immersive et poignante. Le scénario de Jean-François Miniac est puissant et respectueux. Ce projet, initié par Robert Hébras, vise à ce que cette tragédie reste dans les mémoires, notamment auprès des jeunes, grâce à la bande dessinée, un format qu'ils lisent plus facilement. La manière dont la BD aborde la réconciliation et la mémoire collective est remarquable. La rencontre entre Hébras et les présidents allemand et français est un moment fort, symbolisant l'espoir et la paix. Cette bande dessinée est un hommage vibrant aux victimes d'Oradour-sur-Glane et un rappel crucial des dangers du révisionnisme. Elle est à la fois éducative et humaine, une lecture indispensable pour tous. Je recommande vivement ORADOUR L'innocence assassinée. C'est une œuvre bouleversante qui restera gravée dans les esprits, particulièrement en cette année marquant les 80 ans de la libération."

Ce même 23 mai, Linstantbd donne son avis : "Parmi toutes les horreurs commises lors de la seconde guerre mondiale, le massacre d'Oradour sur Glane aura marqué la France par la barbarie arbitraire des Allemands. Né de la volonté de Robert Hebras, dernier survivant du massacre, les éditions anspach et leurs auteurs vont travailler en étroite collaboration pour nous fournir un album retraçant ces terribles événements. La plume de Jean François Miniac retrace avec précision et véracité historique ce qui est survenu en ce mois de Juin 1944 dans ce petit village de campagne, entraînant la mort de 643 victimes. Du bureau des officiers allemands jusqu'au lendemain du massacre en passant par le quotidien de ce petit et paisible village, nous allons découvrir chaque étape menant à cette tuerie de masse. Graphiquement, le séduisant trait de Marivain est toujours accompagné par l'approbation de Robert Hébras. Le découpage, les détails du village et même ses copains, tout y est passé pour coller au plus près de la réalité. En bref, un témoignage fort...glaçant, à lire et à faire lire comme un devoir de mémoire."

Le 23 mai, le programme officiel du Conseil Départemental de la Haute-Vienne pour les commémorations du 80 ans de la Libération est mis en ligne.



Le 24 mai, jour de la sortie de l'album, le site de  France 3  Nouvelle Aquitaine publie un article numérique signé du journaliste Valentin Pasquier, à la suite d'un entretien téléphonique la veille.

Le même 24 mai, le Cercle Jean Moulin relaye l'article de France 3 Nouvelle Aquitaine sur son site.



Le 25 mai sur Le Club de Mediapart, le critique Cédric Lépine livre un billet de blog positif sur notre album. "Une grande attention est donnée à un dessin réaliste pour redonner vie à des lieux condamnées à la destruction. Avec pudeur, les auteurs ne se sont pas appesantis sur les détails des massacres eux-mêmes mais ont tenu à rappeler exactement comment ils ont été perpétrés selon un plan cyniquement établi par les plus hautes instances de la IIe division SS Das Reich venue de Montauban. La BD rappelle une certaine innocence de la part des villageois et villageoises qui, jusqu'à la dernière minute voire seconde où les massacres sont perpétrés, ne pouvaient aucunement imaginer ce qui allait se produire, acceptant d'être confiné es et séparé es entre hommes et femmes, adultes et enfants, ce qui rend l'horreur d'autant plus vive que la révolte n'a pas pu se produire. Une édition hommage qui rappelle aussi que d'autres fronts, en Ukraine comme à Gaza, de tels massacres peuvent actuellement se perpétrer : un livre pour réveiller les consciences."

Le 25 mai, l'émission  BD "Planches, Cases et Bulles"  chronique l'album durant cinq minutes (15.20 à 20.24), livrant un avis enthousiaste et une analyse pertinente de la construction du scénario, concluant d'un curieux :   "Au moment où l'on commémore les 80 ans de la Libération, plutôt que d'écouter Macron, lisez "Oradour, l'Innocence Assassinée" de Miniac et Marivain." "Ce qu'il y a de remarquable, dit Richard de Sèze, c'est la façon dont on nous fait entrer à l'intérieur, à la manière dont les gens d'Oradour et des hameaux alentour ont peu à peu découvert et vécu le drame. (...) On a là une bande dessinée remarquable, par ce côté fragmentaire dont on suit un groupe de gens puis un autre, la manière dont on ne nous raconte pas chronologiquement les choses mais avec plusieurs points de vue. Systématiquement, on repart d'un endroit pour converger vers l'horreur finale, en examinant des destins individuels et collectifs. C'est très très bien mené et le dessin est admirable, d'un réalisme classique, précis, sans se noyer dans la surabondance de détails. Les scènes d'incendies sont réussies, sans qu'il n'y ait aucune complaisance dans l'horreur. Ce n'est pas une bande dessinée où le sang gicle, où les corps brûlent. La BD insiste beaucoup sur le caractère ahurissant de ce qui se passe, la manière dont le peuple français ne s'imagine pas qu'une telle horreur puisse exister... (...) Les SS sont des ordures, c'est très clair, particulièrement manifeste. C'est extrêmement bien dessiné, c'est extrêmement bien mise en scène.  Une fois encore, la révélation progressive de l'horreur, à travers des gens qui ne comprennent que ce qui leur arrive et qui  ne peuvent imaginer jusqu'où les Allemands peuvent aller, est quelque chose de terriblement efficace. (...). C'est véritablement poignant, éclairant. "

Ce même 25 mai, Annabelle Denis publie un billet sur l'album dans Le Mag de l'Association des Anciens du Lycée Gay-Lussac de Limoges, deux des historiens ayant accompagné l'album figurant parmi ces anciens de "Gay-Lu".

Le 27 mai, BdZoom présente l'album dans un article signé Gilles Ratier, rédacteur en chef du webzine. "« Oradour : l’innocence assassinée » aux éditions Anspach : un projet soutenu par l’Association nationale des familles des martyrs d’Oradour-sur-Glane et initié directement par Robert Hébras, le dernier survivant de l’hécatombe, avant son décès à l’âge vénérable de 97 ans. Celui qui avait, sept ans avant les événements, animé le club de lecture de l’hebdomadaire Benjamin de Jean Nohain, dit aussi Jaboune — lequel publiait plusieurs bandes dessinées — souhaitait, ainsi, sensibiliser davantage les plus jeunes à ce monstrueux événement de notre histoire. Avec son dessin très réaliste et documenté, Bruno Marivain (« La Mémoire des ogres », « Julia von Kleist », « Normandie juin 1944 »…) a parfaitement reconstitué l’époque et le déroulement de cette plus importante hécatombe de civils commis en France par les armées allemandes, afin de suggérer l’horreur des actes perpétrés : son trait étant sublimé par les couleurs subtiles du studio Cerise.C’est notre ami chroniqueur Jean-François Miniac qui s’est occupé, avec brio, du scénario très détaillé, après la lecture de la plupart des livres et de la presse concernant cette barbarie, puis du découpage. Excellent dessinateur par ailleurs (notamment sur des BD de la collection Agatha Christie ou sur « Outsiders » avec François Rivière), notre collaborateur a exécuté de nombreux croquis, directement sous les directives de Robert Hébras. Dans le but de respecter la plus scrupuleuse véracité historique, les deux complices ont aussi travaillé en collaboration avec plusieurs historiens, dont les locaux Dominique Danthieux et Philippe Grandcoing (auteurs du dossier pédagogique). "

Le 27 mai,  après un entretien avec Philippe Grandcoing, le journaliste Franck Lagier évoque notre album dans les colonnes du quotidien Le Parisien-Aujourd'hui en France : "Perpétuer la mémoire d’Oradour-sur-Glane, village de Haute-Vienne, dont les 643 habitants ont été massacrés par la division SS Das Reich. Robert Hébras, dernier rescapé, a toujours porté en lui ce dessein. Avant de mourir, en 2023, il avait expliqué (NDR : dès 2018, à l'association OHVR) vouloir transmettre cette histoire, en dessins, pour toucher les plus jeunes. « Il allait souvent dans les collèges, avait cette conscience que les médias du livre, de l’exposition, du documentaire laissaient un angle mort. La jeune génération aime une histoire incarnée, d’où cette BD. », raconte Philippe Grandcoing, historien. C’est l’association dont il est membre, OHVR (Oradour, histoire, vigilance, réconciliation), qui est à l’origine d’« Oradour. L’Innocence assassinée », dont le projet, commencé en 2020, a été validé par des historiens."

Ce même 27 mai, l'album "Oradour 1944, L'Innocence Assassinée" est la deuxième des meilleures ventes en BD historique sur le site Amazon. 



Depuis le 27 mai, l'album est Coup de coeur de la FNAC Annecy.

Le 27 mai, Gianfranco Goria partage l'article de BdZoom sur son site italien afNews.

L'hebdomadaire Le Courrier de l'Eure du mercredi 29 mai 2024 présente la BD dans un article signé du rédacteur en chef Pierre Choisnet, un article publié numériquement dès les 24 mai.

Le 29 mai, le critique BD et journaliste canadien Robert Laplante écrit : "Oradour, l’innocence assassinée de Miniac et Marivain se consacre surtout à l’évolution de ce fatidique 10 juin. À partir du destin de quelques Radounauds, notamment ceux qui en réchapperont, les auteurs adoptent un polaroid presque journalistique de ce moment. Comme s’ils étaient des reporters qui voulaient témoigner minute par minute du désastre qui se déroulait dans le petit village martyr de la Haute-Vienne."

Le 30 mai à Saint-Junien (Haute-Vienne),  le film documentaire de Patrick Séraudie  "Oradour, Les Passeurs de mémoire" est diffusé en avant-première au Ciné-Bourse en présence de Fabrice Goll.  Ce film évoque notamment l'album "Oradour 1944, L'Innocence Assassinée".

Le 31 mai, le site BD La Loutre Masquée publie une longue interview du scénariste par François Macquaire. "L’œuvre de Jean-François Miniac et de Bruno Marivain est un repère historique inégalé."

Le Populaire, enfin !.. Le premier juin, le Populaire du Centre publie un long et bel article signé Hélène Pommier (initialement sujet signé par la correspondante Anne-Sophie Tharaud). Consacré à l'exposition, il est intitulé "Comment le massacre d'Oradour a été porté en BD : une expo à découvrir à la BFM de Limoges".

Le mensuel Bruxelles Culture de juin 2024 consacre une pleine page à l'album. "Cet album se situe à équidistance entre le récit livresque et le long-métrage dramatique, note le journaliste Mythic. Sa totale réussite tant sur le plan de la bande dessinée que de la narration réside dans la passion et le temps consacrés par les auteurs au projet, en amont par un travail nourri de recherches méticuleuses, en aval en allant jusqu'à faire valider les pages dessinées par Robert Hébras, du moins jusqu'à son décès en février 2023. "

Le mensuel BD Casemate de juin 2024 (n° 180) chronique l'album.

Le numéro 155 (juin-juillet 2024) du mensuel Canal BD Magazine chronique positivement notre album.

Destiné aux professeurs d'histoire-géo français, le site Clionautes fait figurer  notre album dans sa sélection BD du mois de juin 2024.

Le site Focus Littérature consacre un bel article de Jean-Claude Attali à notre album.

Le premier juin, le Dauphiné Libéré sort un article intitulé "Habitants Assassinés" sur notre album.

Le 3 juin, la chaîne CNews chronique notre album dans un article signé Thomas Liard et intitulé "80 ans du Débarquement, les meilleures BD autour du D-Day". "Cet album nous fait vivre au plus près toute l'horreur de l'événement, du côté des civils mais aussi du côté allemand, avec des cadrages réussis, un découpage très contemporain, et des tons sépias particulièrement réussis. On se laisse facilement emporté par le trait de Bruno Marivain et le scénario implacable de Jean-François Miniac, qui travaillait sur le sujet depuis 2018".

Le 3 juin, le chroniqueur Johann Vergeraud, par ailleurs professeur d'histoire et de géographie,  chronique l'album sur BdGest, lui accordant un 8/10 : " Oradour-sur-Glane. Pour les lecteurs adultes, ce nom évoque l'un des massacres de civils survenus en France durant l'été 1944. Pour les plus jeunes, le nom leur dit peut-être quelque chose, un exemple dans un cours d'histoire sur la Seconde Guerre mondiale. Dans une période où les tribuns médiatiques minimisent les crimes commis durant ce conflit, voire en change le sens en héroïsant les tortionnaires, les spécialistes et les associations se mobilisent et se dressent contre ce type de discours. Tous les supports sont alors utiles pour sensibiliser et d'expliquer les faits, sans jugements et en les replaçant dans leur contexte. La bande dessinée, capable de séduire du fait de son approche graphique, en fait partie. L'origine de l’album est à chercher auprès de l'association OHVR (Oradour Histoire Vigilance Réconciliation). Créée en 2012, soit treize ans après celle du Centre de la mémoire, elle milite pour transmettre l'histoire et la trace du massacre perpétré par un détachement du premier bataillon du quatrième régiment de Panzergrenadier « Der Führer » appartenant à la division blindée SS « Das Reich », le 10 juin 1944. Collaborant avec des historiens, des écrivains et différentes académies, l'association inscrit sa démarche dans une action citoyenne et européenne (d'où les deux derniers mots choisis dans son nom). Comme l'écrivent dans la préface sa présidente, Bernadette Malinvaud, et son secrétaire, le romancier Philippe Grandcoing, après que le neuvième art a utilisé des évènements historiques comme toile de fond, "il y a désormais une bande dessinée historienne". Or jusqu'à présent, il n'y avait pas eu d'album de ce type pour expliquer ce qui s'est passé dans ce village de la Haute-Vienne. Après avoir sollicité des auteurs et des maisons d'édition, le bureau d'OHVR finit par avoir une réponse positive d'Anspach. Le duo d'auteurs choisis a été guidé sur les lieux par le dernier survivant du massacre, Robert Hébras. Cette visite, commentée et chargée en émotion, a marqué et a pu aider à la construction du récit. Le scénario est réalisé par Jean-François Miniac. Ce passionné d'histoire a réussi le tour de force d'allier la chronologie des faits, en étant scrupuleux sur leur enchaînement, et une montée en tension progressive qui prend les lecteurs aux tripes et les force à ne pas lâcher l'album jusqu'à sa fin. En effet, qu'ils soient ou non sensibilisés à cette période, les bédéphiles apprennent avec exactitude l'implacable chaîne de causalité ayant mené à la mort six cent quarante trois civils. En utilisant des personnages qui devaient aller à Oradour, les lecteurs comprennent l'anormalité du moment. Ceci accroit l'angoisse jusqu'au déclenchement de l'opération. Son origine remonte au mois d'avril 1944, lorsque le Gruppenführer Lammerding reçoit l'ordre d’impressionner la population du Limousin, afin de faire cesser tout acte de sympathie avec les maquisards. Or, il se trouve que la division SS Das Reich est en pause dans cette zone, après avoir subi des pertes lors des batailles de Kharkov et de Koursk. L'un des gradés de l'unité, le SS Dickmann, va alors déployer son expérience issue du front de l'Est face aux ruraux français. C'est aussi cet individu qui choisit au hasard le village sur une carte. Au passage, Jean-François Miniac apporte des éléments sur les origines géographiques des membres de la division, dont plusieurs Alsaciens (surnommés les "Malgrés-nous") qui seront amnistiés par la suite. La liquidation est aussi traitée avec minutie et sans volonté de faire dans le pathos, bien au contraire. À la fin du récit, la manière dont les premières preuves furent amassées est aussi évoquée, tout comme l’incompréhension, le choc, la haine. Le scénariste parvient également à insérer son histoire dans le contexte régional (Saint-Junien, les pendus de Tulle...) et général de l'été 1944, après le débarquement en Normandie (opération Overlord), dans une France où les Résistants multiplient les coups de forces. Cela est d'ailleurs repris dans le dossier illustré présent en fin d'album, qui est particulièrement réussi. Les dessins de Bruno Marivain sont saisissants. En habitué du travail sur cette guerre, il parvient à transporter le lectorat dans un décor réaliste. Il accompagne admirablement le crescendo de l'horreur du scénario. Les scènes du 10 juin 1944 sont d'un réalisme déstabilisant, en particulier celles montrant la mise à mort des deux cent trente sept femmes et des enfants dans l'église. La "dynamique" du processus fait que les lecteurs suivent avec effroi le spectacle sanguinaire d'une division rompue à la mort de masse et qui vit ce que l'historien George Mosse a nommé la brutalisation. Enfin, il faut aussi mentionner l'importance des choix intelligents effectués par la coloriste Cerise. Son utilisation du sépia qui donne une touche de souvenirs du passé, avant celles des couleurs chaudes est réussie. Les membres de l'association Oradour Histoire Vigilance Réconciliation voulaient un album qui soit à la hauteur d'une véritable publication historique scientifique. Les auteurs y sont réellement parvenus et font d' Oradour 1944, l'innocence assassinée un album intelligent et clair, sans effets dramatiques, mais bénéficiant d'un déroulé méthodique, scrupuleux et sourcé des faits. Cet album mérite d'être lu par le plus grand nombre et constitue en soi un admirable travail de mémoire. "



Le 4 juin à Bruxelles,  Le Mug, l'émission matinale de La Première sur la RTBF consacrée aux médias et à la pop culture, reçoit Jean-François Miniac, interviewé en direct durant 20 minutes par Élodie de Sélys et Xavier van Buggenhout. " Le Mug d'ouverture ( de 9 h 10 à 9 h 30) : Jean-François Miniac, le scénariste de la bande dessinée Oradour - L'innocence assassinée. Il nous parlera de la destruction, le 10 juin 1944, d'Oradour-sur-Glane, un village de la Haute-Vienne et l'assassinat de ses habitants (643 victimes), par la division blindée SS Das Reich. Cette année marque les 80 ans du massacre d'Oradoursur-Glane survenu le 10 juin 2024. Cette bande dessinée a été initiée par Robert Hébras, le dernier témoin survivant du massacre. Les auteurs l'ont rencontré plusieurs fois et il a apporté des précisions ou a corrigé des croquis, concernant la vie à Oradour, les intérieurs de lieux détruits, le caractère de certaines victimes... Oradour est devenu un symbole des massacres de masse de population civile et reste aujourd'hui fortement ancré dans le coeur des Français et Européens. C'est par ailleurs le plus grand massacre de civils commis en France par les armées allemandes. Les ruines du village martyr sont devenues un lieu de mémoire et sont visitées chaque année par 300 000 personnes. Cet album a obtenu la labellisation nationale française « 80 ans de la Libération »".



Le 5 juin à Bruxelles, durant un entretien de 8 mn 50 avec le chroniqueur culturel Alexandre Dumont, le scénariste évoque l'album dans l'émission en direct "Le Bon Filon d'aujourd'hui" diffusée sur la chaîne de la radio nationale belge LN24 (Les News 24), la première chaîne d'informations en Belgique.   






Le 5 juin à Bruxelles, Lucas Fu de RTL Info enregistre le scénariste durant une dizaine de minutes pour une pastille de 2 minutes destinée au digital. La  pastille est mise en ligne le jour même.


Le 5 juin, l'hebdomadaire belge Le Soir Mag consacre deux pages entières au massacre d'Oradour, signées Bernard Meeus, journaliste attaché à la vue culturelle, conclu par un encart de Philippe Cools sur cette BD, enthousiaste. "Le dessin est superbe, la précision chirurgicale et la trame (forcément) bouleversante. Un cahier historique complète l’ouvrage. Formidable BD, incontournable."



Le mercredi 5 juin dans les studios de la RTBF à Mons/Bergen, Jean-François Miniac participe en direct à l'émission de Patrick Weber "On n'a Pas fini d'en Parler" sur VivaCité, un émission de débats sur l'actualité avec les chroniqueurs habitués Hubert Ewbank, Cécile Schalenbourg et Marianne Virlée, en direct de 17 à 19 h sur les radio belges de service public (RTBF)  Vivacité et Auvio, émission reprise ensuite dans la boucle de nuit de La Une, chaîne TV nationale publique de la RTBF. "Oradour, L'Innocence Assassinée" y est évoqué une dizaine de minutes dans un focus intitulé "Se souvenir du passé, ça peut changer le futur ?"  "Notre invité, Jean François Miniac, publie "Oradour" aux éditions Anspach. 80 ans après… pour ne pas oublier. 80 ans après aussi, les grands de ce monde se réunissent en Normandie pour commémorer le Débarquement. Alors que certains veulent réécrire l’histoire, c’est vraiment utile de commémorer ?"

Le 6 juin, l'hebdomadaire Le Pays Malouin consacre à notre album un long article signé du journaliste Pierre-Yves Gaudart, longuement rencontré le 23 mai à Saint-Malo. Il est mis en ligne sur le net le 10 juin.

Diffusé le 6 juin sur France.tv, le film de Patrick Séraudie  "Oradour, Les Passeurs de mémoire" (Pyramide Productions, 52 mn) évoque notamment l'album "Oradour 1944, L'Innocence Assassinée".

Le 7 juin, nous recevons un courrier de félicitations du président de la République, Emmanuel Macron, un courrier tapuscrit et manuscrit daté du 3 juin.

Ce même 7 juin, L'Avant-Garde, le journal des jeunes communistes français (Mouvement des Jeunes Communistes de France), conseille notre album dans son article " Seconde Guerre Mondiale : Les reco'culture de la semaine." "L'ultime survivant du massacre aspire ainsi à ce que cette tragédie collective soit portée par la bande dessiné afin de sensibiliser davantage encore à la récurrente menace de néfastes idéologies comme du révisionnisme. A retrouver dans toutes vos bonnes médiathèques." conclue l'article, concernant l'album.

Le samedi 8 juin en Belgique, L'Avenir, le quotidien belge francophone le plus lu,  consacre une page à notre album. Le 5 juin, Michaël Degré, journaliste culturel à L'Avenir, m'avait interviewé par téléphone à Bruxelles où nous étions, avec Sophie, dans le salon des ministres à la RTBF. "L’album publié chez Anspach constitue donc une grande première, très documentée, jamais voyeuriste."



Le 8 juin encore, La Dernière Heure, un quotidien généraliste belge d'expression française, sort un long article enthousiaste sur l'album, entrecoupé de citations de Miniac. Le 4 juin à Bruxelles, Laurent Depré, rédacteur en chef de La Dernière Heure,  avait interviewé Jean-François Miniac à Bruxelles. "La bande dessinée [Oradour - l'Innocence Assassinée] est d’une grande dignité, écrit Laurent Depré. À nos yeux, l’une des réussites du travail de Jean-François Miniac et Bruno Marivain tient dans la montée de l’angoisse au fil des pages sur ce qui attend les pauvres villageois. La tension est terrible, palpable au fil des cases.".

Le 8 juin sur le site France Info, Eric Guilbaud chronique l'album sur son blog Le Meilleur de la BD (2008). "Par la volonté et avec l'aide du dernier rescapé, les auteurs reconstituent le déroulé de cette terrible journée. Avec une ambition forte et aujourd'hui plus que nécessaire : la transmission de la mémoire aux jeunes générations. Réticente jusqu’ici à utiliser la bande dessinée comme médium de transmission, l’Association nationale des Familles des Martyrs d’Oradour-sur-Glane a finalement accepté et accompagné ce projet qui a obtenu la labellisation « 80 ans de la Libération », un gage de sérieux. Et de fait, l’album Oradour, L’Innocence assassinée a été réalisé avec une grande rigueur documentaire dans le déroulement des faits, une grande pudeur dans la représentation de l’horreur et un grand respect pour toutes les victimes de ce qui reste comme le plus grand massacre de civils perpétré par les nazis. Côté graphisme, Bruno Marivain, qui a déjà signé plusieurs ouvrages sur cette sombre période (Normandie Juin 44, Julia von Kleist…) signe ici une belle mise en images, réaliste, sobre et bougrement efficace. Un dossier historique d’une dizaine de pages réunissant photos et documents accompagne judicieusement le récit."

Responsable des pages culturelles aux journaux DNA - L'Alsace, Serge Hartmann m'a longuement interviewé par téléphone le 21 mai. Il consacre un long, bel et positif article à l'album "Oradour 1944, L'Innocence Assassinée" dans les DNA - L'Alsace du dimanche 9 juin 2024. Naturellement, la question des Malgré-Nous, autre crime de guerre selon la Convention de La Haye, est au centre de l'article joliment intitulé "Oradour-sur-Glane, le temps de la BD".

Le 9 juin sur le webzine Branchés Culture, le journaliste belge au journal L'Avenir Alexis Seny chronique brillamment notre album : "Pour bâtir leur impressionnante et saisissante reconstruction, écrit Alexis Seny,  les auteurs Jean-François Miniac et Bruno Marivain (le studio Cerise officie aux couleurs crépusculaires) ont pu se baser sur le témoignage de première main de Robert Hébras.". "Si l’histoire est connue, ajoute Seny, d’autant plus que le petit village martyr d’Oradour est resté dans l’état de sa damnation allemande et se visite avec la boule au ventre et l’effroi, l’incompréhension dans le regard, les auteurs ont la bonne idée de nous y faire arriver pas à pas, à tâtons. Avec différents personnages, utilisés comme des pauvres pions sur un échiquier infernal où ils ne font pas le poids, Miniac et Marivain brouillent les pistes. Le week-end commence, certains ont quitté le village, d’autres y arrivent à pied après le train et quelques détours. Le coeur est léger, pourtant les repères sont vite brouillés. Les Allemands sont en nombres, agressifs, autoritaires. Ils parlent dans leur langue, personne ne comprend rien, le lecteur non plus. De quoi susciter encore plus le malaise. Le village est petit mais les auteurs en font le tour en faisant appel à différents personnages à différents stades, préservés ou piégés dans la souricière. Puis avec les flashbacks pour comprendre ce qui a mené à ce charnier, y compris dans un lieu saint (comme quoi, le Dieu protecteur est un concept bien relatif). Pas ce qui l’explique, car c’est inexplicable." "Dans cet acte de barbarie inhumaine et incompréhensible, les auteurs nous proposent un suivi en temps réel aux côtés de ceux qui survivront mais aussi de ceux qui tomberont, parfois d’une balle dans le dos, signe de la lâcheté de l’assaillant posté partout pour ne laisser aucune chance à… ces citoyens. Comme vous et moi. Un album incontournable et transcendant sur l’incandescence indécence des armées qui obéissent aveuglément et pensent pouvoir décider de la vie et de la mort de citoyens qui ne demandaient qu’un bref moment d’insouciance. Le dessin est admirable, l’ensemble ne glisse jamais vers le tire-larme, pour déboussoler, et désarmer." Alexis Seny diffuse ensuite son article sur le site Les Amis de la BD.

Le 9 juin sur le site Onirik, Damien Dhondt, rédacteur en chef adjoint de Science-Fiction Magazine, chronique positivement notre album.

Le lundi 10 juin au matin, le journaliste généraliste Michel Pralong, par ailleurs spécialiste livre et BD,  s'entretient longuement avec Jean-François Miniac pour le quotidien suisse Le Matin (Lausanne) dont il est responsable des pages littéraires. L'après-midi même, dès 14 h 30, un article très positif et circonstancié "Le massacre d'Oradour raconté en BD 80 ans après" est publié sur le site du quotidien helvétique. «Sans les témoignages de Robert Hébras, ainsi que de Camille Senon, qui a échappé de peu au massacre alors qu'elle se rendait à Oradour, et qui, à 99 ans, est toujours vivante, dit JFM,  jamais nous n'aurions pu réaliser cette BD. Grâce à leurs souvenirs, très précis, nous avons pu raconter ce qui s'est passé dans le village ce jour-là, heure par heure. Avec Robert, j'ai pu aller sur place, pour qu'il m'explique comment lui et ses camarades ont pu fuir la grange en feu, se cacher dans les clapiers, avant de se sauver définitivement.» "Le récit n'est pas chronologique, précise avec justesse le journaliste, on aperçoit d'abord Oradour de l'extérieur, fumant, alors que les SS ont déjà commis le pire. Comme les témoins qui assistent à cela, on ne comprend pas ce qui se passe. Cette construction aide à ressentir l'incrédulité d'une population qui, malgré les années d'occupation, ne pouvait imaginer que l'ennemi soit capable d'une telle abomination. Après un flash-back qui explique les prises de décision des Allemands, on se retrouve à Oradour en ce début d'après-midi caniculaire du 10 juin, avec le rassemblement des villageois. Après la séparation d'avec les femmes et les enfants, on suit ce qui va arriver aux hommes et l'évasion des rares survivants. Puis on revient aux femmes, pour culminer dans l'horreur et le massacre dans l'église. La tragédie d'Oradour est consommée. " Michel Pralong y évoque notamment les remerciements présidentiels : « Le président Macron nous a d'ailleurs envoyé une lettre pour nous remercier pour cette BD et nous dire combien il avait apprécié de rencontrer Robert Hébras lors de sa dernière venue à Oradour. » « Sur les réseaux, des personnes ont comparé Oradour à Gaza ou parlé de nazis ukrainiens, s'indigne Jean-François Miniac. Les promoteurs d'un historien déjà condamné pour un livre qui nie la réalité de ce qui s'est passé à Oradour en ont rajouté une couche, alors qu'une demande a été faite auprès du ministre Gérald Darmanin pour que cet ouvrage, réautorisé, soit interdit à nouveau." « Oradour, l'innocence assassinée » se veut une BD pour que la mémoire ne se perde pas, ajoute le journaliste suisse,  alors que Robert Hébras n'est plus là. C'est important, la mémoire : hier, aux européennes, Oradour a mis le Rassemblement national de Jordan Bardella en tête avec 35,97%. » L'article du Matin est repris sur le site MSN comme sur le site News.dayFR.



Le 10 juin, RCF Bruxelles diffuse un entretien de 40 mn signé Delphine Freyssinet, pour son émission bimensuelle  "Entre les Cases". Le 4 juin dans les locaux de la radio à Bruxelles, la journaliste présentatrice avait enregistré cet entretien avec le scénariste. 


                             Au micro de Delphine Freyssinet.

Ce même 10 juin dans le quotidien Le Courrier Picard, le rédacteur en chef adjoint Daniel Muraz chronique notre album dans sa rubrique "La BD du Jour". Dans cet article intitulé "Oradour pour Mémoire", Muraz écrit :  "Ce dernier album est celui qui relève le plus de la bande dessinée sur le drame d'Oradour. Il retrace avec minutie le déroulement de cette journée tragique du 10 juin 1944. La narration qui mélange les séquences chronologiques s'avère parfois un peu compliquée à suivre, même si elle s'avère prenante une fois dans l'action. On peut néanmoins saluer l'ambition scénaristique et la tentative de s'extraire de la simple linéarité. Et ce déroulé un peu kaléidoscopique a le mérite de faire ressentir  aussi la confusion et l'incompréhension vécues par les victimes d'Oradour avant d'être massacrées. C'est en tout cas un album qui, malgré ces petites remarques critiques, participe pleinement  au nécessaire devoir de mémoire. "

Le 10 juin, Philippe Grandcoing, l'un des conseillers historiques de la BD Oradour L'Innocence Assassinée,  commente depuis Limoges la visite présidentielle à Oradour dans le 12/13 sur France 3 Nouvelle-Aquitaine.

Le 10 juin est le jour de communication des sites et radios spécialisées. Durant une heure ce 10 juin de 13 à 14 h, la radio CanalB reçoit Bruno Marivain, enregistré le vendredi 7,  dans l'émission "Plume et Pinceau" de Roger Fringant. D'ailleurs, ce même 10 juin, le webzine spécialisé Comixtrip chronique l'album, affirmant sa nette préférence par rapport aux deux autres albums sur le même sujet. Le  même jour, de 17 à 18 h, la radio normande Radio Tou'Caen évoque l'album dans son émission Bulles Zégomm. "Cet album relatant le 10 juin 1944, note la journaliste, est le seul soutenu par l'association nationale des familles de martyrs d'Oradour-sur-Glane et le ministère des armées". Le  même jour à Poitiers, de 19 à 20 h, la Radio Pulsar chronique notre album dans son émission bédéphile X Bulles. Le même jour encore, le site toutenbd.com évoque notre album dans un article intitulé "La libération et la guerre à l'honneur dans le 9e art." Toujours ce même jour, le site Bulles de Dupondt chronique positivement notre album.

Au soir du 10 juin, le site du bimestriel gratuit de critique BD Zoo le Mag diffuse une longue interview de Jean-François Miniac par Nicolas Anspach (temps de lecture de 12 minutes). "Comment parler de telles atrocités ? Comment raconter la barbarie sans tomber dans le voyeurisme, en respectant la mémoire des victimes et de leurs descendants ? Un défi que Jean-François Miniac et Bruno Marivain, les auteurs d'Oradour, L'Innocence assassinée aux éditions Anspach ont relevé avec talent et humilité, conscients du rôle de passeurs qui leur était transmis par Robert Hébras, le dernier survivant du massacre. "

Le mardi 11 juin, rediffusion sur France.tv du film "Oradour, Les Passeurs de mémoire".

Ce 12 juin, le Populaire du Centre publie un long article sur la conférence de Gilles Ratier  consacrée à "La Bande Dessinée en 1944" , laquelle conférence de l'OHVR se tient vendredi à la BFM de Limoges dans le cadre de la sortie de la BD "Oradour, l'Innocence Assassinée". L'album y est cité.

Le mercredi 12 juin, le journaliste belge Denis Marc accorde sa cotation de 7,5/10 à notre album au terme de son article positif dans Mon Petit Neuvième, la chronique de critiques BD sur la  RTBF.be. L'article est relayé par le Cercle Jean Moulin.

Le 12 juin, Ouest-France annonce la dédicace de Bruno Marivain à Quimper le 15 juin.

Selon Amazon, le 13 juin, l'album "Oradour, L'Innocence Assassinée" couronne les  ventes de BD en Belgique.

Par ailleurs, émettant sur la montagne limousine,  Radio Vassivière évoque alors notre album sur ses antennes.

Le 13 juin, l'album est disponible à la librairie de la Cité de la BD à Angoulême.

Destiné aux étudiants universitaires, le site belge Campus.be chronique l'album dans un article intitulé "Quand la BD visite l'Histoire".

Les 13 et 14 juin, la radio RCF Bourgogne consacre 13 minutes d'antenne chaque jour  à l'album "Oradour 1944, L'Innocence Assassinée" dans son émission "Le Rendez-Vous Littéraire", émanation d'un court entretien (12 minutes) de Jean-François Miniac avec le journaliste Michel Bonnet, l'un des chroniqueurs de l'émission.

Le vendredi 14 juin à 10 h 30, le scénariste est enregistré durant 50 minutes par une radio rémoise, RJR pour Radio Jeunes Reims, dans le cadre des chroniques de PVL.

Au soir du vendredi 14 juin, le journaliste Gilles Ratier, rédacteur en chef du site BdZoom, donne une conférence sur "La Bande Dessinée en 1944" à la BFM de Limoges dans le cadre de la sortie de la BD "Oradour, l'Innocence Assassinée". Il y est, entre autres, naturellement question de notre album.




Ce même 14 juin au soir, le site du quotidien belge Le Soir met en ligne un article de Daniel Couvreur, chef du pole Culture du journal depuis 2013. Journaliste au « Soir » depuis plus de vingt ans, Daniel Couvreur est un fin connaisseur de la bande dessinée en Belgique. Le 4 juin à Bruxelles, ce journaliste et écrivain s'était entretenu avec Jean-François Miniac pour ce quotidien généraliste belge d'expression française,  le quotidien belge francophone de référence avec La Libre Belgique. Le samedi 15 juin, le quotidien  Le Soir sort en kiosque, dans sa version papier, avec ce long article d'une pleine page en page 37, faisant double page avec la 36 consacrée à un entretien avec Nicolas Anspach.

Le 15 juin, le site Le blog BD de Spooky chronique positivement notre album, lui accordant 4 étoiles sur 5. "Sous le haut patronage de Robert Hébras, le dernier survivant des évènements, les Éditions Anspach ont donc confié à Jean-François Miniac, scénariste polyvalent, le soin de raconter cette journée particulière du 10 juin 1944. Il s'est adjoint les services de Bruno Marivain, qui a déjà œuvré dans la BD historique, en particulier la seconde guerre mondiale. Un duo chevronné, qui nous permet de suivre sans heurts le récit qui bascule peu à peu dans l'horreur et la barbarie."

Le 5 juin, Eddy Caekelberghs, brillant journaliste s'il en est et secrétaire de rédaction à la RTBF, a enregistré une dizaine de minutes le scénariste pour Majuscules, l'émission dominicale de la RTBF consacrée au monde du livre. Le 16 juin,  l'entretien est donc diffusé sur La Première, la principale radio de la RTBF dont Caekelberghs est une voix illustre. 

( https://auvio.rtbf.be/media/majuscules-majuscules-3207901 , à écouter à partir de la minute 14’45.)

Le 17 juin, le blog La Bibliothèque de MellOphé chronique :  "Une magnifique BD relatant avec une extrême justesse une période noire de notre Histoire. Le récit est juste, clair et nous emporte avec violence à travers ce samedi tragique. J’aurais pensé que le format BD aurait apporté une touche de légèreté et que se serait moins immersif, mais je m’étais trompée. L’immersion est totale et les émotions percutantes. La légèreté est utopique dans ce contexte de guerre et de peur. Un rappel pour que plus jamais cela se produise !"

Le 18 juin, l'écrivain et journaliste belge Grégoire Tolstoï chronique positivement notre album sur le site du magazine culturel en ligne Culturius dont il est le co-fondateur. "Procurez-vous « Oradour, l’innocence assassinée » des éditions Anspach chez votre libraire préféré, 88 pages d’Histoire, pour ne pas oublier"

Ce même 18 juin, Richard de Sèze du magazine Valeurs Actuelles évoque l'album dans ses pages consacrées aux lectures de la semaine. "Tout a déjà été dit, mais la bande dessinée se révèle, une fois de plus, comme le meilleur vecteur pour à la fois exposer et sentir."

L'organisme départemental Tourisme Creuse Limousin et le site  Limousin Nouveaux Horizons (SPL Terres de Limousin, 11 rue François Chénieux, 87000 Limoges) annoncent l'exposition estivale consacrée à notre album au musée de la résistance de Peyrat-le-Château (Haute-Vienne), un musée commémorant la mémoire du colonel Guingouin. 



Le mercredi 19 juin entre 20 et 21 h, depuis Rennes,  Bruno Marivain et Jean-François Miniac interviennent en live twich, en conversation avec Passage de témoins, organisation de  rencontres culturelles sur les déportations et les génocides organisées par la délégation du Calvados des Amis (AFMD) de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation (FMD, boulevard des Invalides, Paris).

Au matin du samedi 22 juin, Jean-François Miniac rencontre Camille Senon à Limoges. Hélène Pommier, journaliste au Populaire du Centre, relaye la rencontre en écrivant un article le lundi suivant.

Ce même 22 juin, Jean-François Miniac s'entretient cinq minutes avec Charline Deau de RCF Limousin.

Le samedi 22 juin, Bruno Marivain et Jean-François Miniac interviennent huit minutes en direct sur France Bleu Limousin au micro de la souriante Valérie Delos.

Le 23 juin, Jean-François Miniac s'entretient avec une journaliste de l'Abeille-Le Nouvelliste de Saint-Junien.

Ce même  jour, un lecteur alsacien des DNA y publie un courrier diffamatoire, amalgamant notre album à d'improbables citations sans doute produites par autrui et mettant en cause notre vision équilibrée de la question des Malgré-Nous.



Le 24 juin, MM. Philippe Lacroix, maire, et Benoit Sadry, président de l'ANFMOG, distribuent à l'école et à la bibliothèque d'Oradour des exemplaires de notre album, à destination des enfants et des moins jeunes.

Ce même 24 juin, Stéphane Berducat, critique membre de l'ACBD, du  site L'accro des Bulles chronique élogieusement l'album. "Jean-François Miniac a mené des recherches poussées, imaginé des arcs narratifs clairs et crédibles et conçu un scénario avec le souci permanent d’être le plus proche possible de la réalité. Il établit un rapport chirurgical de la dramatique opération.  (...) Bruno Marivain excelle pour mettre en cases des récits historiques. Il établit un découpage varié, immersif et intelligent dans lequel on admirera de nombreuses cases panoramiques et un rendu cinématographique saisissant.  (...) "Oradour L’innocence assassinée" est un album abordable, authentique et glaçant pour « ne pas oublier ». Il démontre une fois encore que la bande dessinée est un medium incroyable pour transmettre et aider à mieux comprendre le monde qui nous entoure."

Ce même 24 juin, le chroniqueur et prof d'histoire Laurent Lessous, par ailleurs auteur Petit à Petit,  présente notre album avec neutralité sur le site Cases d'Histoire.

Le 27 juin, des exemplaires de notre album sont remis aux lauréats du concours national de la Résistance à Limoges.

Ce même 27 juin sur TVT (TV Tours-Val de Loire), le journaliste Aurélien Legendre évoque l'album dans l'émission quotidienne "Local Génial"  : "C'est vraiment magnifique."



Le samedi 29 juin, le scénariste dédicace l'album à la librairie L'Illustrarium à Mantes-la-Jolie (Yvelines).

Le jeudi 20 juin, Gildas Boënnec, journaliste à La République des Pyrénées (Pau), s'entretenait avec Jean-François Miniac, notamment à propos d'une famille oloronnaise meurtrie par Oradour : les Pinède. Le dimanche 30 juin, l'article est publié numériquement sur le site de La Rep. "Le scénariste Jean-François Miniac et le dessinateur Bruno Marivain ont réalisé un vibrant travail de mémoire consacré au massacre d’Oradour-sur-Glane, lors duquel 643 hommes, femmes et enfants furent tués par la Division SS Das Reich le 10 juin 1944."


En juillet 2024, le site Planete Indie choisit notre album comme "BD du Mois". "Planete Indie, the leading European radio show dedicated to the discovery and promotion of new talents around the globe since 1997. Available on air, television cable and P&T television."



Le premier juillet, l'émission BD de la radio Méga FM, "Ca Pétille",  chronique notre album avec enthousiasme.

Le 3 juillet, la revue en ligne "Les Notes" du réseau de l'Union Nationale Culture et Bibliothèques pour Tous (CBPT, soit 600 établissementschronique positivement notre album pour ses abonnés, lui accordant trois étoiles.

Toujours le 3 juillet, sur la RTBF, l'émission Majuscules de Eddy Caekelbhergs diffuse l'entretien avec Jean-François Miniac.

A 7 h 50 le samedi 6 juillet,  le chroniqueur  François Macquaire évoque durant quatre minutes notre BD "Oradour 1944, L'Innocence Assassinée" sur France Bleu Armorique dans la rubrique "Notre conseil bande dessinée du jour" : "Un album assez exceptionnel.



Le dimanche 7 juillet, dédicace à la librairie Momie de Saint-Malo.

Le jeudi 10 juillet, à l'occasion de la séance de signatures du samedi suivant à Peyrat-le-Château, le Populaire du Centre consacre à l'album et à l'exposition estivale un bel article signé de la correspondante Céline Pabois. 

Le samedi 13 juillet, la séance de signatures de la BD "Oradour 1944, L'Innocence Assassinée" se déroule au Musée de la Résistance de Peyrat-le-Château, en marge d'une des deux expositions estivales du musée. La séance s'accompagne d'une causerie autour d'Oradour et de la genèse de ce projet mémoriel voulu, initié et suivi par Robert Hébras. De 10 h 30 à 12 h 30, le scénariste Jean-François Miniac dédicace des albums et participe à la causerie avec Bernadette Malinvaud, présidente de l'Association Oradour, Vigilance et Réconciliation, association qui a accompagné la réalisation de l'album également parrainé par l'ANFMOG et la Mission Libération du Ministère des Armées. Cet album est conseillé par Biblioteca, la revue des professionnels des bibliothèques et médiathèques françaises.

Le 16 juillet, l'émission "Ca pétille" du premier juillet est rediffusée sur la radio MegaFM.



Le mercredi 17 juillet, le numéro 3913 du quotidien luxembourgeois L'Essentiel consacre une chronique positive à notre album. "Le récit est glaçant et  précis, le dessin est magnifique et terrible. Les auteurs ont réussi à retranscrire l'émotion de ce moment dramatique."

Le 18 juillet sur Babelio, Bookaddict02 donne son avis sur l'album : "Oradour: L'Innocence Assassinée" est une bande dessinée qui se distingue par son approche poignante et respectueuse d'un des événements les plus tragiques de la Seconde Guerre mondiale. Cet ouvrage, tant par sa narration que par son illustration, parvient à rendre hommage aux victimes d'Oradour-sur-Glane. L'histoire racontée dans cette BD est à la fois dévastatrice et profondément émouvante. Les auteurs réussissent à capturer l'horreur et la douleur de ce massacre avec une sensibilité qui évite le sensationnalisme. La narration est bien construite, offrant un équilibre entre les faits historiques et les récits personnels des victimes et survivants.  Les dessins sont bien réalisés et jouent un rôle crucial dans l'immersion de l'histoire. L'illustrateur a su capter l'atmosphère sombre et tragique de l'événement, tout en rendant hommage à la beauté et à la sérénité perdue d'Oradour-sur-Glane. Les visuels, bien que parfois difficiles à regarder en raison de la brutalité des événements représentés, sont essentiels pour comprendre l'ampleur de la tragédie. Cette bande dessinée est aussi un outil éducatif puissant. Elle permet aux lecteurs, jeunes et adultes, de découvrir et de comprendre un événement historique souvent méconnu. Les auteurs fournissent un contexte historique clair et accessible, rendant l'histoire compréhensible sans sacrifier la complexité des événements. La manière dont les auteurs traitent les victimes et les survivants est empreinte de respect et de sensibilité. Chaque personnage, chaque histoire individuelle est abordée avec une humanité qui honore leur mémoire. Cette approche humaniste permet de ressentir la perte et la souffrance tout en rendant hommage à la résilience des survivants. « Oradour: L'Innocence Assassinée » n'est pas seulement une bande dessinée, c'est un mémorial en soi. En lisant cette oeuvre, on ne peut s'empêcher de penser aux vies innocentes détruites et de réfléchir à l'importance de la mémoire collective. C'est un hommage bouleversant qui s'inscrit dans une démarche de devoir de mémoire. Une bande dessinée exceptionnelle qui réussit à capturer et à transmettre la tragédie d'Oradour-sur-Glane avec une profonde humanité et un respect inébranlable. À travers une narration puissante et des illustrations évocatrices, elle offre une plongée émotive et éducative dans l'un des épisodes les plus sombres de l'histoire. C'est une oeuvre indispensable pour ceux qui souhaitent comprendre et ne jamais oublier les horreurs de la guerre."

Le 21 juillet, Radio Jeunes Reims diffuse l'entretien de Jean-François Miniac dans l'émission Les Chroniques de PVL.

Le premier août, Félix Brun livre une chronique positive de l'album sur le site culturel  La Grande Parade.

Le 2 août, Marc Carlot chronique positivement l'album sur le site Bulles Mabouls. "Un récit poignant, un très bel album."

Le 2 août, l'album est n°2 dans le classement des ventes de BD historique sur Amazon France, juste derrière l'album "Jérusalem" et devant des tomes de la série "Les Enfants de la Résistance".

Le 8 août en Suisse, le quotidien helvète francophone de Fribourg, La Liberté, chronique  positivement l'album dans un article signé par le journaliste Samuel Jordan, "La Seconde Guerre mondiale page à page", sélection par le journal des meilleures BD sur le sujet.

Le 15 août, le quotidien Ouest-France consacre un article signé Patricia Hamon, précisément un entretien avec la journaliste.

Le 15 août également, Le Journal de l'Orne consacre une pleine page à l'album "Oradour L'innocence Assassinée" à l'occasion de la signature chez Demeyere à Argentan.

Le mardi 20 août 2024, une séance de signatures de la BD "Oradour 1944, L'Innocence Assassinée" se déroule à la librairie Demeyere - Mille et une Histoires  à Argentan (Orne), lors de la commémoration du 80e anniversaire de la Libération de la ville d'Argentan, le 20 août 1944. La séance s'accompagne d'une causerie autour d'Oradour et de la genèse de ce projet mémoriel voulu, initié et suivi par Robert Hébras, dernier témoin de la tragédie du 10 juin 1944 à Oradour-sur-Glane. De 14 h à 18 h, le scénariste Jean-François Miniac dédicace des albums et participe à la causerie. L'Association Oradour, Vigilance et Réconciliation, association  a accompagné la réalisation de l'album BD, le seul parrainé par l'ANFMOG (association des familles des martyrs d'Oradour) et par la Mission Libération du Ministère des Armées. Cet album est le seul sur Oradour conseillé par Biblioteca, la revue des professionnels des bibliothèques et médiathèques françaises.

Doyenne des radios corses, la radio privée Alta Frequenza (Ajaccio) diffuse une pastille sur notre album, tant en Corse que sur la région PACA.

Première radio locale privée corse, NRJ Corse (Bastia)  diffuse également une pastille consacrée à notre album.



Festival BD de Bruxelles, conférence animée par Thierry Tinlot.

Le 8 septembre au Comic Strip Festival de Bruxelles, de 11 h à 12 h, Jean-François Miniac participe, avec les scénaristes Jean-Yves Le Naour et Charles-Louis Detournay,  à une conférence sur la Libération animée par le journaliste Thierry Tinlot, ancien rédacteur-en-chef de Spirou et de Fluide Glacial.


Ce même 8 septembre à la gare maritime de Bruxelles, le journaliste Jean Lannoy de 1RCF  Belgique (Wavre) enregistre un entretien de 26 minutes avec le scénariste. Il est diffusé le 11 septembre dans le cadre de l'émission hebdomadaire littéraire Tu m'en liras tant, présentée par Armelle Delmelle et justement Jean Lannoy.

En septembre, le mensuel LDC (Lettre Des Collectionneurs) dirigé par Michel Yarmacovaï chronique positivement l'album.


Le magazine chrétien belge de Liège, L'Appel, recommande également notre album dans son numéro de septembre.




Du 5 au 23 novembre 2024, la médiathèque municipale d'Isle présente l'exposition sur la BD.

Funambulles.

Cezam

XXX

(Responsable des pages Culture au Populaire du centre, la journaliste Muriel Mingau signerait un article sur l'album dans le Populaire du Centre en juin. En juin, Florian Moine chroniquerait l'album dans Cases d'Histoire.)

EXPOSITION A LIMOGES

Du 17 mai au 22 juin 2024



Vernissage de l'exposition "Oradour, 10 juin 1944 - De l'Histoire à la Bande Dessinée" autour de la BD "Oradour 1944, L'Innocence Assassinée"

Le 17 mai, le maire de Limoges, M. Emile-Roger Lomberty, a prononcé un brillant discours inaugural de l'exposition en présence d'une foule dense qui comptait parmi elle M. Philippe Lacroix, maire d'Oradour ; M. Benoît Sadry, président de l'ANFMOG ; Mme Bernadette Malinvaud, présidente de l'OHVR ; Agathe Hébras, l'une des petites-filles de Robert ; Gilles Ratier, journaliste spécialisé en BD.  Après la prise de paroles de M. Lombertie, M. Lacroix a prononcé un court discours, suivi par celui de Mme Malinvaud.

Maire de Limoges, Emile-Roger Lombertie inaugure l'exposition devant un auditoire venue en nombre. 


De g à d, rang de face : Mme Bernadette Malinvaud, M. Philippe Lacroix, M. Lombertie, M. Pauliat-Defaye adjoint à la culture de la ville, Jean-François Miniac, Nicolas Anspach, Bruno Marivain.









CONFERENCE A LIMOGES

Le 17 mai, après le vernissage de l'exposition.




Salle comble ce vendredi 17 mai de 18 h 30 à 20 h pour la conférence "Oradour, Genèse d'une bande dessiné historique" à l'auditorium Clancier. Dans la salle, des têtes connues tel celles de  Dominique Danthieux, Gilles Ratier, Agathe Hébras, Philippe Lacroix, Benoit Lescure, président du Centre de la Mémoire d'Oradour-sur-Glane, Bernadette Malinvaud, Babette Robert, directrice du CMO, Benoît Sadry, ainsi que le préfet délégué François Pesneau. Au terme de la conférence au cours de laquelle l'éditeur Nicolas Anspach est aussi intervenu, les retours des auditeurs sont enthousiastes. Un plaisir. Depuis, la conférence d'une durée d'une heure 25 est en ligne sur la chaine YouTube de la BFM.



EXPOSITION ETE 2024 EN HAUTE-VIENNE

Du premier juillet au 15 septembre 2024, l'exposition autour de la BD "Oradour 1944, L'Innocence Assassinée" est présentée au Musée de la Résistance de Peyrat-le-Château (Haute-Vienne), situé près du Lac de Vassivière et au coeur du Parc naturel régional de Millevaches en Limousin.

L’exposition montre comment un événement historique peut devenir l’objet d’une reconstitution par un scénario, des dialogues et des dessins tout en répondant aux exigences de l’exactitude des faits à travers la bande dessinée "Oradour l’innocence assassinée" (éditions Anspach). Une bande dessinée née du souhait de Robert Hébras, décédé en 2023. Dernier survivant du massacre d'Oradour sur Glane le 10 juin 1944, R. Hébras a validé le scénario, conseillé l'auteur Jean-François Miniac et le dessinateur Bruno Marivain.

Exposition prêtée par l'association OHVR (Oradour, Histoire, Vigilance et Réconciliation)

Le Musée, membre du réseau des Musées de la Résistance Nationale (MRN), a été créé par l'Association des Créateurs et Amis du Musée départemental de la Résistance de la 1ère Brigade de Marche Limousine en 1999. Le Musée s'applique prioritairement à transmettre la mémoire des sacrifices consentis et des luttes menées par les hommes et les femmes du maquis de Georges Guingouin.

Musée de la Résistance, Avenue de la Tour, 87470 Peyrat-Le-Château.



Tourisme Creuse Limousin : https://www.tourisme-creuse.com/offres/exposition-au-musee-de-la-resistance-oradour-10-juin-1944-de-lhistoire-a-la-bande-dessinee-peyrat-le-chateau-peyrat-le-chateau-fr-5007746/ Limousin Nouveaux Horizons : https://www.visitlimousin.com/sejourner/lagenda/tout-lagenda-manifestation-haute-vienne-limousin/exposition-au-musee-de-la-resistance-oradour-10-juin-1944-de-lhistoire-a-la-bande-dessinee-peyrat-le-chateau-peyrat-le-chateau-fr-5007190/


BIBLIOTHEQUES ET MEDIATHEQUES 



                                                     In Biblioteca d'avril 2024.

L'album "Oradour, L'Innocence Assassinée" figure parmi la sélection BD du  trimestriel Biblioteca (N° 2 de 2024, avril-mai-juin),  un magazine professionnel fondé en 1990 et destiné aux bibliothèques françaises. Nos deux suiveurs sont naturellement absents de cette sélection.  De surcroît, en juillet, la revue en ligne "Les Notes" du réseau de l'Union Nationale Culture et Bibliothèques pour Tous (CBPT, soit 600 établissementschronique positivement notre album pour ses abonnés, lui accordant trois étoiles.

L'album est coup de coeur  du réseau des médiathèques du Golfe (Vannes, 56)

Liste aléatoire de sites français de lecture publique proposant l'album à leur lectorat  : bibliothèque de Moult-Chicheboville (14) ; Culture et Bibliothèque pour Tous à Luc-sur-Mer (14) ; médiathèque municipale de Senlis (60) ; médiathèque de Ligugé (86) ; médiathèque municipale des Ormes (86) ; BFM Limoges (87) ; médiathèques des CSE Natixis à Charenton (94) ; bibliothèque municipale de La Balme-les-Grottes (38) ; réseau des médiathèque ALF Ambert Livradois Forez (63) ; médiathèque des Minimes à  Toulouse (31) ; bibliothèque Nomade à Toulouse (31) ; médiathèque de Meucon (56) du réseau des médiathèques du Golfe (Vannes, 56) ; médiathèque Max-Pol Fouchet à Chatillon (92) ; médiathèque André Malraux à Strasbourg (67) ; médiathèque de l'Oeuvre Notre-Dame à Strasbourg (67) ; bibliothèque L'Heure Joyeuse (75005), bibliothèque Mohammed Arkoun (75005), bibliothèque Saint-Simon (75007), bibliothèque Drouot (75009), bibliothèque Louise Walser-Gaillard (75009), bibliothèque Claire Bretécher (75010), bibliothèque Glacière (75013), bibliothèque Georges Brassens (75014), bibliothèque Andrée Chedid (75015), bibliothèque Hergé (75019) et  bibliothèque Oscar Wilde à Paris (75020) (du réseau des Bibliothèques de la Ville de Paris) ; médiathèque municipale d'Ambazac (87) ; réseau des médiathèque de Weppes, médiathèque Le Maisnil (59) ; réseau des bibliothèques du massif du Vercors (38) ; Bibliothèque Départemental de Touraine (37) ; médiathèque de Maureilhan (34) ; bibliothèque de Dangé-Saint-Romain (86) ; médiathèque municipale d'Ardentes (36) ; médiathèque de la Roche-sur-Yon (85) ; médiathèque d'Arès (33) ; bibliothèque municipale d'Oradour-sur-Glane (87) ; médiathèque de Lampaul-Plouarzel (29) ; médiathèque Jacques Ellul de Pessac (33) ; médiathèque de Saint-Apollinaire (21) ; médiathèque de Hornaing (59) ; médiathèque de la Croix du Bac à Steenwerck (59) ; médiathèque Paul Eluard à Fontaine (38) ; médiathèque de la ville d'Arès (33) ; médiathèque de Montceau ; médiathèque départementale d'Ardèche (07, dont Veyras et Vernosc-lèz-Annonay) ; bibliothèque de Charentilly (37) ; bibliothèque de Saint-Sauvant (17) ; Bibliothèque municipale de Lyon ; Université de Limoges (BU Lettres) ; Université Paris nanterre (BU).

Sites en Belgique : Bibliothèque communale de Wanze (4520) ; .

Sites en Suisse : Médiathèque Valais de Sion ; Bibliothèque publique et scolaire d'Avenches ; Bibliothèque cantonale et universitaire de Lausanne ( Site Riponne).


EDITION EN LANGUE ETRANGERE

Notons qu'une édition en néerlandais sort également en mai 2024 pour nos amis flamands et hollandais.


Fin juin 2024, 263 librairies françaises ont l'album en stock selon le site Place des Librairies. 240 au 8 juillet. Le 18 juillet, 237. Le 12 août, 224. Le 12 septembre, 203.


104 LIBRAIRIES GENERALISTE AYANT L'ALBUM EN RAYON :


82000 Montauban

Librairie La Femme Renard


17000 La Rochelle

Librairie Calligrammes


88200 Remiremont

Pause et Vous


25800 Valdahon

Librairie Graine de livres Valdahon


47000 Agen

Librairie Martin-Delbert


28000 Chartres

BDFlash Chartres


59700 Marcq-en-Baroeul

Librairie La Forge


79000 Niort

La librairie des Halles


59840 Pérenchies

Une Belle Histoire


78330 Fontenay-le-Fleury

librairie JMS


14100 Lisieux

Les Grands chemins


29000 Quimper

Librairie Ravy


41000 Blois

Librairie Labbé


59260 HELLEMMES-LILLE

Librairie ITALIQUES


83160 La Valette-du-Var

Librairie Charlemagne La Valette


53000 Laval

Librairie M'Lire


29600 Morlaix

Dialogues Morlaix


19000 Tulle

Librairie Chantepages


71100 Chalon-sur-Saône

Librairie Develay par PGdis


35310 Mordelles

Un Fil à la page


60500 Chantilly

Librairie Entre les Lignes


22100 Dinan

Librairie Le Grenier


89100 Sens

Calligrammes


02400 Château-Thierry

la librairie des Fables


92500 Rueil-Malmaison

La Dule en bulles


37000 Tours

La Boîte à Livres


76600 Le Havre

Librairie La Galerne


63140 Châtel-Guyon

Lis tes ratures


88000 Épinal

Au moulin des Lettres


92120 Montrouge

Librairie Matière Grise


87000 Limoges

Librairie Page et Plume


89000 Auxerre

Librairie Obliques


16000

Angoulême

Librairie Cosmopolite


59300 Valenciennes

Les yeux qui pétillent


30000 Nîmes

Librairie Goyard


91520 Égly

Librairie Espace-Temps


75020 Paris

Le Merle Moqueur


57000 Metz

Librairie de l'Office Catéchétique


35600 Redon

Libellune


92150 Suresnes

Point de côté


52100  Saint-Dizier

Librairie Larcelet


44000 Nantes

Librairie Coiffard


83500 La Seyne-sur-Mer

Librairie Charlemagne La-Seyne-sur-Mer


68100 Mulhouse

47° Nord


13600 La Ciotat

Au Poivre d'âne La Ciotat


78600 Maisons-Laffitte

Les Chemins du livre


92100 Boulogne-Billancourt

Les Mots et les choses


36000 Châteauroux

Librairie Arcanes


69003 Lyon

Librairie Glénat Lyon


56220 Rochefort-en-Terre

Librairie Sainte-Hortense


68100 Mulhouse

Librairie Bisey


67000 Strasbourg

Librairie Dinali Mésange


84000 Avignon

La Crognote Rieuse


28100 Dreux

Librairie La Rose des Vents


88100 Saint-Dié-des-Vosges

Librairie Le Neuf


95120 Ermont


35300 Fougères

Librairie L'Imagibulles


44000 Nantes

Librairie Aladin


92330 Sceaux

Librairie Le Roi Lire


31000 Toulouse

Librairie Privat


57100 Thionville

Librairie Hisler BD Bis


15000 Aurillac

Librairie Point-Virgule


76000 Rouen

Librairie L'Armitière


21200 Beaune

Librairie Athenaeum


28000 Chartres

Librairie l'Esperluète


72000 Le Mans

Librairie Doucet


71100 Chalon-sur-Saône

Librairie La Mandragore


76190 Yvetot

Librairie La Buissonnière


12000 Rodez

Librairie La Maison du Livre


11100 Narbonne

Librairie BD & Cie


61000 Alençon

Librairie Le Passage


75013 Paris

Jonas


84400 Apt

Fontaine Luberon


42190 Charlieu

le Carnet à spirales


21000 Dijon

Librairie Grangier


27400 Louviers

Quai des Mots


35000 Rennes

Librairie Le Failler


62152 Neufchâtel-Hardelot

La Fureur de Lire


59493 Villeneuve-d'Ascq

Les Lisières à Villeneuve d'Ascq


92600 Asnières-sur-Seine

Librairie Nouvelle


35400 Saint-Malo

La Droguerie


75006 Paris

La Procure


83000 Toulon

Librairie Charlemagne Toulon


14000 Caen

Librairie Au Brouillon De Culture


44000 Nantes

Librairie L. Durance


22600 Loudéac

L'Histoire sans fin


45300 Pithiviers

Librairie Gibier


71000 Mâcon

Librairie Le Cadran Lunaire


91290 ARPAJON

La Plume du Page


47000 Agen

Dans ma librairie


22300 Lannion

Librairie Gwalarn


85000 La Roche-sur-Yon

Librairie 85000


59910 Bondues

Belles Pages


49300 Cholet

Le Passage Culturel


75014 Paris

L'Art Invisible


29200 Brest

Librairie Dialogues


68100 Mulhouse

Canal BD - Tribulles


56000 Vannes

La Procure Séminaire


25000 Besançon

Librairie L’Intranquille Plazza


69400 Villefranche-sur-Saône

Librairie Papeterie Develay par PGdis


83510 Lorgues

Librairie Lorguaise





112 LIBRAIRIES BD FRANCAISES AYANT L'ALBUM EN RAYON :


Librairies classées par département.
 
LE TALON D'ACHILLE (03100 Montluçon)
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FORUM BD (04100 Manosque)
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ALFA BD (06000 Nice)
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LIBRAIRIE DU CAP (06700 Saint-Laurent-du-Var)
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LA BÉDÉRIE (13100 Aix En Provence)
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LIBRAIRIE ARLES BD (13200 Arles)
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POINT VIRGULE (15000 Aurillac)
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LE PHARE DE TERRE (15000 Aurillac)
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MANGA KAT Angoulême (16000 Angoulême)
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BULLES EN CAVALE (17300 Rochefort)
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LIBRAIRIX Bourges (18000 Bourges)
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BD WEST (22000 Saint Brieuc)
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LES BULLIVORES (24000 Périgueux)
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TURBULENCES (29000 Quimper)
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EXCALIBULLE (29200 Brest)
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LE MIGOU (32000 Auch)
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RAIJIN BD (33210 Langon)
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LA MALLE À BULLES (34400 Lunel)
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LIBRAIRIX Châteauroux (36000 Châteauroux)
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LES BULLES DE VIENNE (38200 Vienne)
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DES BULLES ET DES HOMMES (42100 Saint Étienne)
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D'UNE BULLE À L'AUTRE (42600 Montbrison)
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INTERLUDE (43000 Le Puy en Velay)
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ALADIN (44000 Nantes)
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LE CHAUDRON (44600 Saint Nazaire)
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DANS MA LIBRAIRIE (47000 Agen)
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AU REPAIRE DES HÉROS (49100 Angers)
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BÉDÉRAMA (51100 Reims)
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M'LIRE (53000 Laval)
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BD + CAFÉ (59000 Lille)
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ASTRO CITY COMIC SHOP (59000 Lille)
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PASSION BANDE DESSINÉE (59500 Douai)
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CAP NORD (62000 Arras)
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LE BANC DESSINÉ (64100 Bayonne)
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BÉDÉ EN BULLES (66000 Perpignan)
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LA CASE EN PLUS (69007 Lyon)
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LA BOUSSOLE (69400 Villefranche-sur-Saône)
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L'ANTRE DES BULLES (71100 Chalon-Sur-Saône)
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PULP'S BD (75005 Paris)
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LA PLANÈTE DESSIN (75006 Paris)
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LA CAVERNE DES BD (75012 Paris)
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BULLES DE SALON Letellier (75015 Paris)
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LA COMPAGNIE DES BULLES (75016 Paris)
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BULLES DE SALON Lévis (75017 Paris)
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VIGNETTES (75019 Paris)
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BDNET NATION (75020 Paris)
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AU GRAND NULLE PART (76000 Rouen)
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LABEL BULLES (76600 Le Havre)
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BULLE DE JEUX Chessy (77700 Chessy)
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LE COMPTOIR DE LA BD Versailles (78000 Versailles)
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LA MARQUE JAUNE (78100 Saint-Germain-en-Laye)
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BD FLASH Rambouillet (78120 Rambouillet)
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L'ILLUSTRARIUM BD (78200 Mantes-la-Jolie)
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BULLE IMAGINAIRE (78500 Sartrouville)
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LE 9E ART (78800 Houilles)
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L'HYDRAGON (79000 Niort)
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BULLE EN STOCK (80000 Amiens)
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GAÏA LIB (81000 Albi)
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LIBRAIRIE FALBA (83000 Toulon)
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BULLES D'ENCRE (86000 Poitiers)
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L'OCTOPUS (88000 Epinal)
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TERRES DE BD (91400 Orsay)
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LE COMPTOIR DE LA BD Boulogne (92100 Boulogne)
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MATIÈRE GRISE (92120 Montrouge)
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L'ÉCHAPPÉE BULLE (92130 Issy les Moulineaux)
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BD GEEK (92160 Antony)
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BULLES DE SALON Levallois-Perret (92300 Levallois-Perret)
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LA DULE EN BULLES (92500 Rueil-Malmaison)
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LA CASE A BULLES (92600 Asnières Sur Seine)
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MANDIBULLES (95120 Ermont)
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BULLES DE SALON Soisy (95230 Soisy-sous-Montmorency)
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ALCHIMISTE LIBRAIRIE (95300 Pontoise)
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Pour un retrait ou une expédition

ÇA VA BULLER (67000 Strasbourg)
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BD LIB (27000 Évreux)
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MANGA KAT Bordeaux (33000 Bordeaux)
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BDNET BASTILLE (75011 Paris)
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ESPRIT BD (63000 Clermont-Ferrand)
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MILLE SABORDS (17000 La Rochelle)
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BULLES EN VRAC (75005 Paris)
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LA PARENTHÈSE (54000 Nancy)
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HISLER BD (57000 Metz)
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LIBRAIRIE POP'UP et Cie (30900 Nîmes)
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BULLES EN TÊTE Batignolles (75017 Paris)
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TRAITS D'ESPRITS (75006 Paris)
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BD & CIE (11100 Narbonne)
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BULLES EN TÊTE Vaugirard (75015 Paris)
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LUMIÈRE d'AOUT (76000 Rouen)
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ALÈS BD (30100 Alès)
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LEGEND BD (45000 Orléans)
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BÉDÉLIRE (37000 Tours)
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LA RUBRIQUE À BULLES (75011 Paris)
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KRAZY KAT (33000 Bordeaux)
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LIBRAIRIE IMPRESSIONS (95880 Enghien-les-Bains)
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TERRES DE LÉGENDES (31000 Toulouse)
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BULLES DE PAPIER (19100 Brive La Gaillarde)
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UNIVERS BD (14000 Caen)
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M'ENFIN ?! (35000 Rennes)
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AVENTURES BD (59140 Dunkerque)
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SUPER HÉROS (75003 Paris)
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TRIBULLES (68100 Mulhouse)
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DERNIER REMPART (06600 Antibes)
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VANNOLLES - BD - MANGAS (25300 Pontarlier)
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BULLE (72000 Le Mans)
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GRÉFINE (17000 La Rochelle)
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L'ART INVISIBLE (75014 Paris)
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BULLES EN TÊTE Le Peletier (75009 Paris)
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FUNAMBULES (76000 Rouen)
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BD FLASH Chartres (28000 Chartres)
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