lundi

Etoile de Normandie

http://normandie.canalblog.com/archives/2012/03/19/23806101.html

Un hiver près de la cheminée, in Le Publicateur Libre


Dans le cadre de son opération "Un hiver près de la cheminée", le Publicateur Libre, l'hebdomadaire domfrontais à cheval sur l'Orne, la Manche et la Mayenne, offre notamment Les Nouvelles Affaires Criminelles de l'Orne à ses lecteurs, ce durant tout l'hiver 2011-2012.

Patrimoine Normand n°82

Dans le numéro 82 ( juillet-août-septembre 2012) de la revue Patrimoine Normand, une chronique de Jean-François Miniac lui permet de revenir sur une fameuse affaire qui le passionne depuis quelques années et pour laquelle, cet hiver, il a reçu d'un correspondant de confiance de nouveaux visuels, dont la plupart inédits, notamment une photographie de la victime.
Après sa période de distribution en kiosque, le trimestriel est notamment consultable à la médiathèque de l'espace culturel du manoir du Tourp. Situé à Omonville-la-Rogue (50440), dans le Cotentin, ce manoir manchois est un équipement à vocation culturelle avec son exposition permanente sur La Hague, ses espaces d’expositions temporaires, sa médiathèque Côtis-Capel, son jardin… Il est ouvert toute l’année, tous les jours de 14h à 18h sauf juillet-août : de 10h30 à 19h. Fermé le 1er mai.

K-Libre

A l'été 2012, K-Libre, une des bibles actuelles consacrées littératures policières, ajoute Jean-François Miniac à son répertoire d'auteurs.( Merci à son responsable, Julien Védrenne, de cette sympathique attention.) Voici le lien de la fiche auteur en question : http://www.k-libre.fr/klibre-ve/index.php?page=auteur&id=2740

Ethymologie de Miniac


"Consultant des informations sur (s)es ancêtres Jean Gouyon et Marguerite de Mauny (connue aussi sous le patronyme de MINIAC), Michèle Tastevin précise que "Grâce à ce que j’ai appris des uns et des autres, je ne peux accréditer cette thèse ( que le nom Miniac provienne du breton), le breton n'étant pas de mise à cette époque. En effet, tous les historiens s'accordent à dire que les tribus brittoniques (parlant le breton) ne sont arrivées par vagues successives en Armorique qu’entre le 6è et le 9è siècle. Leur langue n'a pu s'étendre et influencer les langues parlées et existantes des Armoricains que bien après. Ces langues ou dialectes parlées avant leur venue étaient issus du gaulois, de la langue d'oïl, et influencé par le bas latin. Je pense que, comme toute sensation d’envahissement, cela ne s’est pas fait sans quelques difficultés. En effet, je me suis laissé dire que les bretons nous traitaient de « Le Gall » (le gaulois) et nous le leur rendions bien en les traitant de « Le Bret » (le breton) d’où les patronymes issus qui, curieusement, du fait de l’inversion voyelle-consonne en gallo (la berouette pour la brouette, fromer pour fermer…) a parfois donné des « le Bert » (Lebert)."